France ruinée et Conseil national des universités (CNU)

26.11.2018

«Aber ich sage: was fällt, das soll man auch noch stoßen!»

Nietzsche

            La République est à l'agonie : la France retrouve ses chances de se régénérer ! 

            Avec mon expérience du Conseil national des universités (CNU), il est plus que comique de lire les réactions de la canaille corruptionnelleet prétentieuse qui entoure Macron à propos de ce mouvement, certes naïf, qu'on appelle les « Gilets jaunes ». Que d'injures chez cette plèbe politicienne haïssant tout mouvement social et national généré par un peuple blanc : « beaufs », « illettrés », « peste brune », … 

            Docteur de l’Université française et ancien enseignant à la Sorbonne et à Nice-Sophia Antipolis, exilé en Suisse car n’ayant pas le droit de ne serait-ce que chercher, malgré une bibliographie académique digne de celle d’un professeur universitaire (http://anatoly-livry.e-monsite.com/pages/bibliographie-scientifique.html), un poste de maître de conférences chez moi en France, j’applique cette stratégie d’attaque sur les flancs de ce système rigide et psychopathique qu’avait choisie les « Gilets jaunes » en bloquant les routes de leur pays : contactant des fondations et des mécénats occidentaux, je prive de centaines de milliers d’euros d’abord des projets pseudo-scientifiques français puis tout dessein politique issu de la Vrépublique.

En somme, démontrant hors des frontières hexagonales la nature authentique de cet establishment à la fois infantile et sénile qu’est le Conseil national des universités dirigé par des mandarins caractériels et émotifs, je coupe des corrompus œuvrant à la dégénérescence de la France de leurs moyens de subsistance, attendant, semblable aux « Gilets jaunes », qu’une crise financière systémique majeure précipite les fonctionnaires dépravés dans la déchéance, et ce, bien avant ce départ à la retraite qu’ils n’atteindront de toute façon pas. Je suis ravi que même des collègues universitaires français se joignent à mon action : 

« Il faut défendre Anatoly Livry », François Garçon, Maître de conférences HDR, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, directeur du Master 2 professionnel Cinéma Télévision Nouveaux médias, docteur en histoire après des études aux universités de Genève et d'Oxford (St Peter's College), co-lauréat du prix d'histoire Gustave Ador, lauréat d'une bourse Besse (Oxford) et du Fonds National Scientifique suisse. (https://www.les4verites.com/politique/il-faut-defendre-anatoly-livry)

            Ne jamais accepter les règles qu’essaye d’imposer le système ! Par exemple, dans mon cas : la procédure de qualification du CNU supprimée par un amendement du Sénat en juin 2013 a été maintenue suite à la mobilisation des intéressés vicieux prétendant que cette sélection sur dossier serait un « rempart contre les localismes », ce qui justifierait son coût annuel d’environ 20 millions d’euros (www.anatoly-livry.e-monsite.com/medias/files/lettre.faudot.pdf) – information pour tous les Français qui crèvent de faim : oui, environ 20 000 000 euros sont dépensés par an pour que quelques « professeurs universitaires » à peine lettrés dans leur « spécialité académique » [1] puissent calomnier leurs concurrents au niveau national ! En revanche, de facto, ladite « procédure de qualification » fondée à la « Libération » par des Français staliniens et déserteurs rentrés à Paris de l’URSS afin de dresser de nouvelles générations prêtes à toutes les révolutions de couleur ainsi que fut Mai 68 ne sert qu’à transmettre au ministère des haines et des règlements de comptes universitaires locaux.

Et je dispose de milliers de preuves de ce que j’avance, preuves issues de « rapports » du CNU que j’ai même fait parvenir à la CEDH de Strasbourg, mais surtout à des fondations privées d'Europe qui, au vu de ces preuves flagrantes, ont déjà déchu des fonctionnaires universitaires français de leurs subsides tant désirés. Les sbires du CNU me proposent de jouer le jeu pour sauvegarder leur fragile équilibre mental de narcissiques sans aucune existence psychique – ce que je n’accepte jamais, visant seulement l’appauvrissement de cette Université anti-française déjà en partie galeuse et tiers-mondisée : « Selon une source proche du dossier, la décision d’évacuation a été accélérée après le découverte de cas de gale parmi le personnel de l’université, dont certains ont demandé lundi à exercer leur droit de retrait. » http://www.france24.com/fr/20180626-france-migrants-evacuation-batiment-universite-paris-8-saint-denis (France24, le 26 juin 2018).

Mon action, nettement plus silencieuse que celles des « Bonnets rouges » ou des « Gilets jaunes » mais qui s’étale sur plusieurs années, est peut-être plus efficace car elle vise à priver des apparatchiks universitaires français, immatures et hystériques, de leur capacité de nuisance afin qu’ils cessent de produire des Macron et ses électeurs bobos analphabètes. Il faut que l’anarchie institutionnelle maintenue par des bornés et des pervers s’effondre physiquement comme celle de l’URSS pour que l’on puisse commencer l’éducation contre-révolutionnaire des générations à venir. 

La condition sine qua non pour ce nouveau départ est l’anéantissement économique d’une gouvernance ringarde, son appauvrissement jusqu’à ce que ses apparatchiks et leur famille se mettent à crever de faim. Ma guerre contre cette république vampirisant la France est donc commune à tout mouvement social et national qui secoue les restes de l'Occident.