Catastrophe française et la pédérastie passive

«Говорят, не подобает
Дундуку такая честь;
Почему ж он заседает?
Потому что жопа есть.»

А. С. Пушкин

L'Empire romain, lorsque sa déchéance était bien entamée, se tournait vers des gouvernants juvéniles aux origines douteuses pratiquant la sodomie passive car attirés par des mâles puissants. En cela, ils étaient l'incarnation même de cet imperium à bout de souffle et prêt à se soumettre à n'importe quel puissant culte étranger. Je pense bien évidemment à cet Héliogabale pédéraste passif ayant laissant toute la réalité du pouvoir à sa vieille mère. Quelle ressemblance avec la république française et son président Macron sensuellement attiré par des « réfugiés » maliens [1] qui ne le sont nullement puisqu'une fois régularisés en France, ils se retrouvent soutenus par l'ambassade parisienne de leur pays et rentrent dans leur patrie [2]. Autre hôte du président Macron et de son « épouse » au Palais de l'Élysée : une bande des « pédés » [3] africains.

Et démarche du même acabit : accorder des pouvoirs exceptionnels à d'autres de ses partenaires sodomites actifs, par exemple venus du Maroc: faveur ultime, le président de la V^e République leur offre le droit de se défouler sur de simples manants pour services intimes rendus. Ce « Watergate français » nous démontre que la République est devenue pire qu'une tyrannie du Tiers-monde : en échange de faveurs peut-être sexuelles fournies au président français vraisemblablement plus attiré par la racaille étrangère que par son « épouse » mamie (qui puise dans les coffres de la république française sans retenue), illustration parfaite de cette France gouvernée par une légion de voleurs guidés par un réflexe frénétique : « Vole avant que l'autre ne vole. Sinon, il volera et t'accusera de ne pas voler puisque tu aurais déjà trop volé! »), le fameux « barbouze » Benalla a semé la terreur auprès des services de la police [4], du préfet et du gouvernement, raison pour laquelle les plus hauts serviteurs de l'État subissent des pressions et modifient leurs dépositions de façon ridicule [5].

C'est également dans des pays du Tiers-monde que les partenaires sexuels des présidents bénéficient de salaires s'élevant à l'équivalent de plusieurs milliers d'euros et d'appartements luxueux à proximité du logement présidentiel pour lesquels, à en croire les médias français – et même les plus serviles –, on peut leur allouer des sommes de plusieurs centaines de milliers d'euros rien que pour les mettre à leur goût [6].

La V^e République est un État tyrannique où un grand despote hystérique élu de facto par à peine plus de 14% des votants – déficit néanmoins comblé par l'intervention de la pègre parisienne liée au milieu homosexuel qui a étouffé, au dernier instant, de scandaleuses révélations sur l'essence pédérastique du Macron-candidat en dissimulant l'identité de son concubin de l'époque  – est entouré d'une multitude de micro-tyrans se trouvant au-dessus de la loi, ce qui rend impossible toute stabilité de cette république. 

Comparaison avec des États étrangers

Fréquentant le monde parisien et ses myriades de meneurs d'opinion, c'est le qualificatif de « tyran » qui est utilisé ad nauseam pour désigner gaillardement des dirigeants tels que Poutine, Erdogan, Trump, etc. Je vous laisse seulement supposer quelle avalanche d'aboiements s'abattrait par exemple sur Vladimir Poutine si l'un de ses proches collaborateurs, habillé en policier et protégé par les forces de l'ordre, sortait dans les rues de la capitale russe pour s'amuser à taper sur des manifestants. De cette incohérence, les pseudo-élites de cette république française qui se permettent des leçons de morale chaque fois que le pouvoir russe est évoqué ou que Vladimir Poutine rencontre son homologue français n'en ont évidemment cure.

République française, un État pluri-corruptionnel. Expérience personnelle

Ce n'est pas seulement Macron ou ses prédécesseurs qui engendrent cette forfaiture, celle-ci est omniprésente en France, à tous les niveaux. Je pense tout naturellement à l'Université française abusant d'une fausse image de continuation académique de la France de jadis, mais qui est de facto gérée par des détraqués incultes, et souvent illettrés, qui s'auto-promeuvent mutuellement depuis le poste de maître de conférences jusqu'au fauteuil de membre l'Institut de France [7]. Comment ne pas évoquer ici Pierre Brunel qui s'est fait élire à l'Institut sans concurrence aucune («Dans sa séance du lundi 16 mars 2015, l'Académie a élu au premier tour de scrutin M. Pierre Brunel, professeur émérite de littérature comparée à l'Université Paris-Sorbonne, seul candidat, au fauteuil laissé vacant par le décès de Gérald Antoine dans la section Morale et Sociologie.») et ayant commis des publications « scientifiques » sur Pouchkine sans connaître ne serait-ce que l'alphabet cyrillique !

Cela n'est cependant pas étonnant si l'on se souvient que la créature qu'il avait doctorisée, devenant en 2018 « expert » sur mon dossier du Conseil national des universités (CNU), est incapable, en bon philologue universitaire français, de comprendre la langue française qui est pourtant sa langue maternelle car détournant le sens de mon article consacré à une professeur « nabokovienne » de Bordeaux ne maîtrisant pas plus l'alphabet russe [8] et, comble, ne sachant distinguer, en tant qu'enseignant-chercheur en lettres, l'ukrainien du russe ! Comble de ces esprits ras-du-front : les gestapettes du soviet républicain avaient retrouvé mes publications médiatiques à l'égard de la Gueuse, et, en bons « experts », ils les avaient comptabilisées dans mes parutions académiques pour mieux me dénoncer dans leur « rapports » officiels : « Monsieur Livry attaque, dans ses publications le président Macron, l'ensemble de ses travaux n'entre donc pas dans les critères exigés par l'Université française, c'est pourquoi (SIC) il n'a pas le droit de postuler à un poste d'enseignant-chercheur en France. ». L'ordre de commettre une telle forfaiture est descendu directement de l'Élysée car Macron, tout comme sa ministre de l'enseignement supérieur – mon ex-collègue de Nice-Sophia Antipolis –, avait été averti du règlement du compte corruptionnel qui se prépare cette année au sein du CNU. 

Pire encore : à côté de la corruption du CNU, le « barbouze » Benalla est un petit joueur : chaque année, la perpétuation au niveau national de la forfaiture universitaire française locale – que communément l'on appelle la « procédure de qualification du CNU » – coûte à la république en faillite la broutille d'environ 20 000 000 euros. Tout cela, pour satisfaire l'hystérie groupusculaire de quelques mandarins à la française – donc illettrés ! – entourés de victimes de la méthode globale névrosés par un délire carriériste. 

En effet, c'est à tous les niveaux qu'en France, et surtout dans le milieu universitaire français, l'on retrouve de minuscules Benalla portés par leur micro-pouvoir de malfaisance, en fait surtout garants de l'illettrisme grandissant des futurs dirigeants de la république française, laquelle devient une idiocratie dangereuse pour tout homme libre et se tiers-mondise à toute allure notamment à cause de son président amateur de mâles d'origine africaine. 

N'est-ce pas pour cela que lorsque Macron proclame – en tant que Président de la république française ! – que Alexandre Benalla n'est pas son partenaire sexuel [9]? Il faut comprendre ce ricanement du tyran-inverti tout puissant dans cette pauvre France subissant un état d'urgence qu'il avait normalisé comme un aveu vicieux de sa pédérastie passive qu'il rémunère avec la carte blanche que lui avait fournie le Palais de l'Élysée. 

Pire encore, Macron annonce d'être « fier d’avoir embauché Alexandre Benalla à l’Élysée. » : le président français, dans l'exercice de ses fonctions, se comporte comme une folle qui s'obstine à protéger son conjoint sexuel qui l'avait pourtant trompée ! Cerise sur le gâteau : ce sont les autres (cette « presse » tant adorée dans d'autres circonstances) qui sont responsables de la crise d’État ! 

La république française est donc gouvernée par un personnage psychiquement inadéquat soumis à une sexualité perverse, incapable de pleinement assumer la moindre de ses responsabilités, ce qui rend ce pays effectivement dangereux comme toute tyrannie instable par excellence.