République française : trolls à la Sorbonne et à l’Élysée
"... elle ressemblait à une ancienne poule d'Henri IV ayant survécu à la monarchie."
Léon Bloy, Exégèse des Lieux Communs
Tel un tyran frénétique, le président de la Ve République gouverne un système criminel, misanthrope et absurde. Totalement interchangeable, ce troll créé par la big dataa été injecté en haut de la pyramide républicaine dans un unique but : anéantir les Indo-européens de l'Occident par la guerre, la maladie, la pauvreté, le métissage et surtout par l'arme la plus redoutable du globalisme : la haine de soi. Voilà pourquoi chaque fois que l'on entre en contact avec la république française et son gourou aussi hystérique qu'un cocaïnomane et sodomite dissimulé, que ce soit sur le plan économique, militaire, diplomatique ou culturel, l'on doit constater que l'on se retrouve face à un authentique criminel contre l'humanité. Prendre part à sa folie furieuse ou à celle de ses barbouzes, quel que soit leur masque, revient à participer à l'extinction de notre espèce.
Contrairement à ce que l'on prétend communément, le courant qui a fabriqué Macron n'est point celui de la "gauche" ou même celui du mondialisme pur : notre misanthrope élyséen a été propulsé au sommet par l'esprit hystérique du bourgeois bloyen que l'on retrouve chez la très collectiviste "droite" française, race que j'ai explorée tel un zoologiste rempli d'abnégation durant des décennies à travers les rédactions parisiennes et l'Université française. Un jour, je pondrai un pavé sur les multiples avatars du socratisme académique francophone de la très digne "droite" universitaire qui s'étend jusqu'à l'Institut de France (et ses correspondants en Suisse compris) et dont la psychopathie de chacun de ses membres reflète parfaitement la face satanique du Grand Inquisiteur et apporte sa pierre au piédestal sur lequel, sous leurs applaudissements, fut dressée la guillotine à la lame aiguisée pour le cou de l'Européen.
Je donnerai cependant ici un unique exemple de la frénésie de la "droite" sorbonicarde française, familière de Radio Courtoisie et des églises traditionalistes (bien sûr très partiellement, pour ne pas heurter les chers collègues syndicalistes des obédiences trotskystes !).
Spécialiste de Claudel et de Nabokov, j'ai fait des découvertes dans les œuvres de ces auteurs : chez le premier, j'ai démontré l'influence des discours de l'Empereur Julien sur Tête d'Or [1]; chez le second, j'ai analysé l'influence qu'a exercée sur lui Nietzsche, ce qui m'a permis de mettre fin à toute cette imposture lacanienne drainée par Derrida et Deleuze que subit Nietzsche depuis ces années sombres que l'on appelle communément la "Libération" [2]. En 2010, il fallait casser ces découvertes qui démontraient la nullité de bon nombre des travaux universitaires claudéliens ou nabokoviens antérieurs. Voilà pourquoi deux "dindes" professeuses à Paris IV-Sorbonne ont sombré dans un tourbillon d'hystérie, se mettant à s'envoyer frénétiquement des lettres. Ainsi, en dignes trolls qu'elles sont, elles ont créé ex nihilo une tempête dans un verre d'eau, balançant les copies de leurs excréments à l'ensemble du personnel de Paris IV, depuis la plus petite secrétaire jusqu'à l'hystériarque chef, le feu Molinié.
Lisez attentivement la correspondance de Nora Buhks avec sa collègue bien-aimée Dominique Millet-Gérard : vous verrez comment leurs écrits tendent à la calomnie sans jamais mentionner mes travaux sur Claudel et Nabokov dont elles avaient pourtant lancé les premières publications dans des revues de la même Sorbonne (notamment dans le Bulletin de l'Association Guillaume Budégéré par le directeur des Études Grecques à Paris IV-Sorbonne de l'époque Alain Billault), véritable cause première de leur hystérie. Mais, lorsque ces deux fonctionnaires ont capté que je refuserai toujours de subir les multiples humiliations qu'elles avaient dû endurer avant d'accéder au professorat universitaire, elles ont tout fait pour étouffer leur propre promotion des découvertes d'Anatoly Livry. Malhonnêteté de ces trolls poussée à son paroxysme : elles s'annoncent ouvertement entre elle vouloir étouffer la tornade calomniatrice qu'elles avaient déclenchée à mon égard parmi les professeurs de Paris IV : "Je partage tout à fait votre analyse sur l'absence de fondement objectif de ce qu'il [Anatoly Livry] veut lancer comme une « affaire » à scandale mais qui ne repose que sur sa propre exploitation malhonnête et délirante du réseau informatique." (Lettre de Dominique Millet-Gérard à Nora Buhks, du 7 juin 2010, p. 2, copies balancées au président de Paris IV – Sorbonne Molinié, Pierre Brunel, Laure Troubetzkoy, Didier Alexandre) : https://drive.google.com/file/d/1F4rYS5c8abADLmYh2KRQSV2-pNoOS6IP/view.
Les deux s'adressent à Pierre Brunel (actuellement de l'Institut de France) alors médiateur en titre à Paris IV-Sorbonne, exigeant et obtenant de lui de cracher ouvertement sur ses fonctions de médiateur dans mon cas : la calomnie hystérique interne doit rester dissimulée et elle le serait restée si ce système infantile n'avait pas transmis lui-même ces vomissures sorbonagres à mon avocat : "Je comprends parfaitement les raisons qui vous font renoncer à votre médiation. En général la médiation ne me paraît être la procédure adéquate en la circonstance : elle vise à apaiser des conflits, alors que je n'ai aucun conflit avec M. Livry (!!!???)." (Lettre de Nora Buhks à Pierre Brunel, du 20 mai 2010, copies balancées à président de Paris IV – Sorbonne Molinié et Dominique Millet-Gérard) : https://drive.google.com/file/d/1F4rYS5c8abADLmYh2KRQSV2-pNoOS6IP/view.
L'hystérie schizophrénique de ces deux fonctionnaires s'est poursuivie bien au-delà de 2010, alors que j'enseignais à Nice-Sophia Antipolis où j'ai soutenu ma thèse de doctorat avec Patrick Quillier ("Professeur agrégé de lettres classiques et professeur de littérature comparée à l’Université de Nice-Sophia Antipolis, je connais bien Anatoly Livry, docteur en littérature comparée, qui enseigne à la même université. Je le considère comme un chercheur précieux et très prometteur. En 2011, il a rédigé un travail de doctorat consacré à Nietzsche et à Nabokov sous ma direction. Ce travail fut soutenu devant un jury international de six professeurs composé de comparatistes, d'un germaniste, d'un philosophe ainsi que d'un slaviste et a obtenu la mention « Très honorable »." Attestation signée de Patrick Quillier du 6 mars 2012 http://anatoly-livry.e-monsite.com/medias/files/quillier-bravenheart039.pdf), et ce, en accéléré, grâce à l'intervention d'Alain Tassel, doyen des "humanités" à Nice-Sophia Antipolis et autre larbin de "droite" de ce très malfaisant Brunel qui, alors, orchestrait une campagne de diffamation à mon égard à Paris : http://anatoly-livry.e-monsite.com/medias/files/livry-tassel-1.pdf.
Admettre leur propre divagation est impossible pour ces parcelles de cette "droite" française pathocratique: impossible d'admettre que je suis un notable chercheur, enseignant universitaire, renommé dans certains cadres académiques à partir du moment où l'on me laisse y exercer mon métier hors de leur psychopathie collectiviste de "droite". Il leur a fallu rendre cette hystérie locale et paranoïaque nationale, instrumentalisant ce système de concours républicain qu'est la "procédure de qualification"du Conseil national des universités (CNU) en y agitant contre moi ses gourous trotskisants afin qu'ils nomment comme "experts" sur mon dossier des membres de cette même Paris IV-Sorbonne, autrement dit ceux que Millet-Gérard et Buhks, sous l'égide de Pierre Brunel, avaient appelés à se dresser personnellement contre moi au sein de leur deux facultés de Paris IV-Sorbonne, et cela dès 2010 : "Je crois indispensable que nos deux UFR unissent leurs efforts en ce sens." (Lettre de Dominique Millet-Gérard à Nora Buhks, du 7 juin 2010, p. 2, copies balancées au président de Paris IV – Sorbonne Molinié, Pierre Brunel, Laure Troubetzkoy, Didier Alexandre) : https://drive.google.com/file/d/1F4rYS5c8abADLmYh2KRQSV2-pNoOS6IP/view.
Tout comme les auditeurs de mes actuels séminaires universitaires, le lecteur attentif de ma future biographie pourra découvrir la façon dont elles ont agité, depuis leur folie locale de la Sorbonne du printemps 2010, Carrère d'Encausse ou Delsol de l'Institut de France, leur correspondant en Suisse flanqué de la légion d'honneur (distinction offerte par Macron[3]...), les conseillers de ministres français ou des services spéciaux qui sont allés jusqu'à inspecter les abords de ma résidence suisse. Jamais cette spirale de folie furieuse engendrée par deux minables frustrées n'a été bloquée par cette médiation sage qu'aime commercialiser la république hystérique – comme chaque gueuse infanticide soudainement saisie d'effroi devant la perspective de ne plus pouvoir vendre ses services.
Voilà comment se conduisent les rejetons de l'Université française, naturellement – peut-on au moins le supposer – soucieux au moins de leur propre avenir académique : les deux bougresses initiatrices de cette affaire savent pertinemment qu'elles sont étudiées par des politologues et ethno-sociologues d'Eurasie[4]. Cette fresque splendide de pathocratie universitaire française montre d'ailleurs au bon peuple de France que tous ses espoirs en une élite respectable, intellectuellement et spirituellement, sont vains : la pourriture submerge la république française tant en haut qu'en bas, tant chez un Mélenchon habitué au râtelier du Sénat qu'à TV-libertés[5]ou Radio Courtoisie[6](qui m'ont d'ailleurs censuré sur l'ordre de ces deux pintades sorbonicoles).
Voilà pourquoi, chers correspondants internationaux de la Ve République française, lorsque le "président" de cette province de l'Euroland protège ses barbouzes partenaires sexuels (qui s'amusent à massacrer des manants dans la rue), leur permettant ensuite de voyager à travers le monde ès qualité diplomatique et de posséder des armes létales, vous devez comprendre que ces Macron interchangeables et frénétiquement irresponsables ont été engendrés par plusieurs générations de sorbonagres de "droite"et que c'est précisément ce bétail carrièro-hystérique, abrité derrière son statut d'apparatchik, qui est à l'origine du long assassinat de la France par ses politiciens et est le gage de la mort inéluctable de cette république, quels que soient ses soubresauts.
[1] Dr Anatoly Livry, « Tête d’Or et Hélios-Roi », « Les Écrivains du sacré » organisé par la Faculté de la littérature comparée de Paris IV – Sorbonne où Anatoly Livry fut invité à intervenir par le professeur Dominique Millet-Gérard en février 2007. Suivi d’une publication dans le Bulletin de l'Association Guillaume Budé, dirigé par le professeur de Paris IV - Sorbonne Alain Billault, cette Association Guillaume Budé dont le professeur Dominique Millet-Gérard est membre du conseil d'administration : http://www.persee.fr/doc/bude_0004-5527_2008_num_1_2_2310
[2] Dr Anatoly Livry, Nabokov le nietzschéen, Paris, « Hermann », 2010, 313 p. avec une préface de Renate Reschke, Professeur à l’Université Humboldt de Berlin, Président de « Nietzsche-Gesellschaft » Berlin-Naumburg et avec une postface de Nathalie Pakhsaryan, Professeur de littérature française à l’Université Moscou-Lomonossov :http://www.editions-hermann.fr/3873-nabokov-le-nietszcheen.html
[4] Biryukov Sergey, Dr. of Political Sciences, Professor, Professor of Department of General History and Socio-political Sciences, Kemerovo State University & Barsukov Aleksander, PhD in Politics Sciences, Deputy Dean of Faculty of Politics and International Relations, Siberian Institute of Management – Branch of the Russian Presidential Academy of National Economy and Public Administration, «ANATOLY LIVRY: FROM LITERARY STUDIES TO REALISING THE MODERN SOCIOCULTURAL PROСESSES», BULLETIN OF KEMEROVO STATE UNIVERSITY OF CULTURE AND ARTS JOURNAL OF THEORETICALAND APPLIED RESEARCH, The Magazine is inscribed by the Higher Certifying Commission on the index of leading reviewing scientific periodicals for publications of main dissertation of academic degree of Doctor and Candidate of Science, n° 44 - 2018, p. 27-33. (résumé en anglais, p. 28): http://anatoly-livry.e-monsite.com/medias/files/vestnikkemguki44.pdf
[5] Courriel de Martial Bild à l'agent littéraire d'Anatoly Livry lui annonçant que, de facto, suite à des pressions de l'Institut de France après son passage à des TV-Libertés (bien nommée) du 6 mai 2015 (interview elle-même effacée: http://www.tvlibertes.com/journal-du-mercredi-06-mai-2015-avec-anatoly-livry-philosophe), le philosophe y sera à tout jamais censuré : "Madame, M. Livry n’est victime d’aucune censure sur TVLibertés et nous ne sommes donc pas l’objet de pressions de qui que ce soit. Nous recevons les personnalités lorsqu’elles ont une actualité, sortie de livre etc. Cordialement, Martial Bild", <bildmartial@gmail.com> 02/11/2016. Or, seulement depuis 2016, le Dr Anatoly Livry a fait paraître quatre (!!!) nouveaux livres (tous annoncés à Martial Bild). Par ailleurs, ses prévisions actuelles publiées, celles de la crise des "gilets jaunes" ou, par exemple, de l'utilisation, par le "système" de l'accusation d'"antisémitisme", pour contrer le soulèvement populaire, se sont avérées, mais ... TV dite "libertés" fait le mort !
[6] Courriel de Didier Rochard à Anatoly Livry lui annonçant que, suite à des pressions de la Sorbonne, son émission d'une heure et demie préenregistrée ("C'est la première fois en 23 ans que <Didier Rochard fut> confronté à un tel problème!") sera censurée sur l'ordre de la présidence de Radio Courtoise :"Cher Ami,
En effet, l'émission que nous avons préenregistrée pose problème! oh! pas à moi. J'ai eu beaucoup de plaisir et d'intérêt à vous entendre. La rencontre fortuite, à la sortie du studio, avec D. Paoli a attisé sa curiosité. Elle a écouté le préenregistrement avec H. de Lesquen. Ils ne souhaitent pas diffuser l'émission. C'est la première fois en 23 ans que je suis confronté à un tel problème. Le jugement est sans appel: certains des propos échangés pourraient nuire à Radio Courtoisie.
Nous en parlerons plus directement par tél. Je suis très contrarié par cette affaire!
Meilleures salutations. Didier Rochard", didier.rochard@bbox.fr 25/05/2011.