LE COTE OBSCUR DE BUZZFEED - PARTIE 1
LES SPONSORS ET AMIS DE BUZZFEED
BUZZFEED A TENDANCE À CRÉER LA SURPRISE CHEZ SES LECTEURS (BIEN QU’IL SE PRESENTE COMME UN « SIMPLE PORTAIL DE DIVERTISSEMENT » SPÉCIALISÉ DANS LES PETITS CHATS, LES CÉLÉBRITÉS ET LE JOURNALISME DE BAS ETAGE) : IL A L’AIR DE RIEN EVOLUÉ POUR DEVENIR UN MEDIA DONT LA MARQUE DE FABRIQUE EST LE CONTENU POLITIQUE.
ALORS MEME QU’UNE QUANTITE NON-NEGLIGEABLE DU CONTENU PUBLIÉ SUR LE SITE EST FONDAMENTALEMENT ERRONÉ OU BIEN TRONQUÉ, LE SITE PERSISTE À ATTRIBUER UNE SOI-DISANT CREDIBILITÉ AU CONTENU EN S’APPUYANT SUR DES « SOURCES ANONYMES » ISSUES DES CERCLES « INFORMÉS ».
BIEN QU’IL SOIT AVERRE QUE LE SITE A DEJA PUBLIE DES MENSONGES, LE MAL EST DÉJÀ FAIT LORSQU’ENFIN LA DESINFORMATION EST EXPOSEE. LE SITE ADOPTE UNE STRATEGIE QUI CONSISTE A FUITER DES INFORMATIONS FAUSSES ÀFIN DE PROVOQUER UN DEBAT DANS LES MEDIA TRADITIONNELS ET AINSI POUSSER LES CONSOMATEURS D’INFORMATION A CONSULTER LE SITE TOUT EN EXAGERANT LES SCANDALES DE MANIÈRE A DEFORMER LA PERCEPTION DES FAITS AUX YEUX DU PUBLIC.
LORSQU’IL EST CONFRONTE A DES CONTRADICTEURS, BUZZFEED INVOQUE LA LIBERTE DE LA PRESSE POUR SE PROTEGER DES ATTAQUES AINSI QUE LE SECRET DES SOURCES AU SUJET DES INFORMATIONS QUI LEURS SONT COMMUNIQUÉES.
AUJOURD’HUI, BUZZFEED A LA REPUTATION D’UN SITE QUI PRATIQUE LA DESINFORMATION ET DONT L’OBJECTIF EST DE SEMER LE DOUTE DANS L’OPINION PUBLIQUE.
LE PRESIDENT TRUMP A D’AILLEURS LUI-MEME DECLARE AU SUJET DE BUZZFEED QU’IL CONSIDERAIT LE SITE COMME UN « MONCEAU D’ORDURES DISFONCTIONNEL »
BUZZFEED A ÉTÉ FONDE PAR UN CERTAIN JONAH PERRETI (AUSSI CO-FONDATEUR DU HUFFINGTON POST) EN 2006. LE SITE EST BASE À MANHATTAN, NEW YORK. DEPUIS 2012, BENJAMIN ELI SMITH OCCUPE LE POSTE DE REDACTEUR EN CHEF DU PORTAIL.
LE PORTAIL A COMMENCE PAR PUBLIÉR DES ARTICLES SUR LE MONDE DU DIVERTISSEMENT, AVANT DE BASCULE DANS LA PUBLICATION D’ARTICLES SUR LA POLITIQUE.
BENJAMIN ABRAHAM HOROWITZ, LUI-MEME UN SOUTIEN ACTIF DU PROJET, FUT LE FONDATEUR D’UNE SOCIETE NOMMEE « LOUDCLOUD » A LA FIN DES ANNEES 90. CETTE SOCIETE COMPTAIT PARMI LE DEPARTEMENT DE LA DEFENSE PARMI SES CLIENTS LES PLUS IMPORTANTS DANS LE DOMAINE DE L’HEBERGEMENT LA SOCIETE FUR EVENTUELLEMENT RENOMMÉE « OPSWARE » AVANT DE SE TOURNER VERS LA FABRIQUE DE LOGICIELS.
IL EST A NOTER QU’HOROWITZ A PARTICIPE AU FINANCEMENT DE CERTAINS DES RESEAUX SOCIAUX LES PLUS IMPORTANTS dont tous se sont retrouvés confrontés à des scandales impliquant l’usage illicite des données personnelles de leurs utilisateurs (FACEBOOK, TWITTER, SKYPE).
BELLINGCAT: L’EXPERT XBOX DE L’OTAN
Il existe un proverbe selon lequel « Dis-moi qui sont tes amis, je te dirai qui tu es.. »
BUZZFEED est très lié avec BELLINGCAT ; les deux sites ayant collaboré étroitement sur des projets « d’investigations ».
BELLINGCAT fût fondé en 2014, quelques temps après le début de l’agression Ukrainienne contre le Donbass. La première « investigation » se focalisa sur le crash du BOEING MH17. Dans le cadre de l’affaire SKRIPAL, les deux sites parvinrent à obtenir l’accès à la base de données du SERVICE FEDERAL DES MIGRATIONS de la Fédération de Russie, ce qui ne manqua pas d’éveiller les suspicions de l’implication dans cette opération de services de renseignement étrangers au travers de déclarations des représentants du Ministère Russe des Affaires Etrangères. Maria ZAKHAROVA, Porte-Parole du Ministère déclara pour sa part que « l’opération ressemblait un travail d’une officine dont le mode opératoire et la mission consiste, sous couvert de journalisme d’investigation, à répandre de fausses rumeurs. WIKILEAKS a pour sa part révélé les liens étroits qu’entretient BELLINGCAT avec le Ministère Britannique de la Défense. BELLINGCAT collabore par ailleurs étroitement avec des structures politiques ayant elles-mêmes des liens avec George SOROS , ayant à cet égard perçu des financements de la part de l’OPEN SOCIETY. Une autre source de financement de BELLINGCAT se trouve être GOOGLE dont les activités en ce qui concernent les recherches effectuées au travers de son moteur de recherche a fait l’objet de plusieurs controverses portant sur son sens de la neutralité.
BELLINGCAT collabore de surcroit étroitement avec « THE ATLANTIC COUCIL » ; un centre de réflexion qui opère directement sous le contrôle de l’OTAN qui bénéficie de dons de la part du Département US de la Défense. Il est à souligner que ces deux organisations sont connues pour leur propensions à disséminer une propagande antirusse de manière continue. Le patron de BELLINGCAT est un certain Elliot HIGGINS dont le nom figure de manière explicite en qualité de Responsable de la Recherche sur le site web de l’organisation.
Dans le sens où BELLINGCAT nourrit de réelles ambitions, la société se doit de pouvoir compter sur une multitude d’experts, n’est-ce pas ? En fait ce n’est pas vraiment le cas. HIGGINS concède avoir acquis son expérience en jouant au jeux vidéos de la X BOX ainsi qu’au travers des films d’action. Ce qui n’empêche pas BELLINGCAT de se présenter comme un portail spécialisé dans le traitement de sujets aussi complexes et d’envergure que l’affaire du MH17.
HIGGINS du haut de ses 34 ans ne possède aucune expérience que ce soit dans le maniement des armes, les droits de l’homme ou le journalisme de manière générale. Et pour cause : il a abandonné ses études après s’être inscrit dans un cours sur les médias à l’université. Curieusement, son travail est pourtant repris par tout le monde que ce soit AMNESTY INTERNATIONAL ou le NEW YORK TIMES.
Il s’amuse d’entendre être considéré comme étant un expert en armement. « Les journalistes semblent penser que j’ai évolué dans le commerce des armes », déclare-t-il. « Mais en fait je n’étais pas plus instruit sur le sujet que le joueur de XBOX lambda avant les Printemps Arabes. Je n’avais de connaissance sur le sujet qu’au travers de ce que j’avais appris d’Arnold SCHWARZENEGGER et RAMBO. »
Un autre partenaire de BUZZFEED est le site THE INSIDER : un organe de « presse » dirigé par un gauchiste antirusse du nom de Roman DOBROKHOTOV. Ce site est financé par les néoconservateurs rattachés au centre de réflexion de le HERITAGE FOUNDATION basé à Los Angeles.
Selon RT, THE INSIDER est basé à Riga, et de 2017 à 2018, les revenus de la société ont quadruplé. Selon l documents portant sur leurs déclarations de revenus, THE INSIDER a amassé près de 226 000 euros en échange de ses services. Clairement ce n’est pas au travers de ses banières que ce type de revenus peut être généré.
Cela n’empèche pas la société, selon LURSOFT, d’être dans le rouge avec des dettes qui laissent entendre que les opérations ne sont pas si lucratives.
Selon le site TSARGRAD, il semblerait que l’un des investissuers n’est autre que Mikhail KHODORKOVSKY, bien qu’en principe, il pourrait s’agir de n’importe qui.
Son fondateur, Roman DOBROKHOTOV est connu pour ses articles ‘d’investigation » dont la cible est la Russie. Après avoir tenté sa chance dans le journalisme, puis l’activisme politique, il semble s’être résigné au fait qu’il serait plus rentable de se spécialiser dans la dissémination de fausses informations destinées à créer de la controverse afin de pouvoir empocher les profits générés par cette activité.
TSARGRAD a remarqué que
« Il est incroyable qu’alors que ce site web ne dispose pas ne serait-ce que des fonds nécessaires pour recevoir du courrier de la part des annonceurs du secteur, il est en mesure de rémunérer le travail de plusiurs auteurs et assurer le financement d’enquêtes, ce qui semble impossible à concevoir à défaut de pouvoir compter sur des injections de capitaux afin de couvrir les frais de voyage vers l’Estonie où une interview s’est tenue avec l’un des membres du collectif de hackers SHALTAI-BOLTAI. »
CYBERBERKUT adresse les raisons qui semblent expliquer l’absence d’impartialité de ces sites :
« Il est maintenant facile d’expliquer pourquoi les articles publiés par THE INSIDER et BELLINGCAT sont formulés à charge contre la Fédération de Russie : il ne saurait en être autrement alors même que ces sites percoivent des fonds de la part d’organisations qui ne cachent pas leur hostilité envers Moscou. En cela, ces « journaliste d’investigation » ne peuvent pas être objectifs.
(https://cyber-berkut.org/, https://threadreaderapp.com/thread/1013816266753232897.html).
En guise d’illustration, CYBERBERKUT s’es tlivré à une expérience en adoptant les « méthodes d’investigation » communément utilisées par BELLINGCAT et THE INSIDER. Ce faisant, il est amusant de constater que les articles seraient rédigés de la manière suivante : « Monsieur DOBROKHOTOV est un agent d’influence atteint de schizophrènie ». Il suffit simplement de faconner une série de manipulations sur Internet, assembler des faits sans rapport les uns avec les autres sans se soucier de la logique la plus élémentaire et voilà la PREUVE !
Source - Geopolitica