mondialisation

Les capitalistes occidentaux démantèlent la mondialisation pour arrêter la Chine

Les capitalistes occidentaux démantèlent la mondialisation pour arrêter la Chine
13.01.2023

"Il n'y a pas si longtemps, s'opposer à la mondialisation était l'apanage des radicaux et des populistes", déclare Thomas Fazi, qui a lui-même passé une grande partie de sa jeunesse à faire des émeutes (littéralement) contre le capitalisme mondial dans le cadre du mouvement antimondialisation de la fin des années 1990 et du début des années 2000.

Entre guerre et pandémie, pourquoi la mondialisation commence à s'effriter

06.03.2022

Lorsque la pandémie a éclaté, le syndrome des rayons vides a démontré deux choses : les effets dévastateurs d'une psychose collective (les supermarchés n'ont jamais fermé un seul jour) et la mesure dans laquelle certaines entraves du village planétaire avaient mis en échec producteurs et consommateurs, en particulier dans le secteur alimentaire, un réseau complexe d'interactions impliquant les agriculteurs, les intrants agricoles, les usines de transformation, le transport maritime, les détaillants. Pendant des décennies, les gouvernements n'ont pas fait grand-chose pour protéger les petites exploitations agricoles et les producteurs de denrées alimentaires qui ont été évincés par ces géants commerciaux, générant des aberrations telles que Singapour, qui importe 90 % de ses denrées alimentaires de l'étranger, ou la très avancée Australie, qui exporte environ deux tiers de ses produits agricoles vers la turbulente région Asie-Pacifique.

Sommet annuel des Brics en Inde

17.10.2016

Il montrera aussi que l'Inde souhaite toujours en être un membre actif, malgré l'opposition vigoureuse de Washington avec lequel pourtant le président Modi  envisage de plus en plus de coopérations.

Rappelons que les Brics, qui représentent 53% de la population mondiale et quelque 16.000 milliards de dollars de PIB, ont été constitués en 2011 dans le but d'utiliser leur influence économique et politique conjointe afin de contrebalancer les Etats-Unis dans la gestion des affaires du monde.