Michel Aucouturier et Derrida, grands-pères de Macron

08.12.2018

La VRépublique implose, mais ce n'est pas aujourd'hui que, malheureusement, elle mourra. Il faudrait davantage de sang et de larmes pour que l'humanité indo-européenne de l'ouest entre, enfin, dans son stade agonal. Y survivra-t-elle ? Sera-t-elle remplacée ? Sera-t-elle endormie dans son métissage avec des Congoïdes… Ou se réveillera-t-elle pour une lutte à mort ? L'avenir nous le dira.

Thèse doctorale sur Nietzsche et Nabokov, une contre-révolution académique

            Ma thèse de doctorat portait sur Nietzsche et Nabokov, ces deux philologues hellénistiques que l'on s'est efforcé de lacaniser, autrement dit de pousser vers le nihilisme, d'anéantir par le néant, ce pour quoi tout un système de la VRépublique, à savoir le Conseil national des universités (CNU), a été dressé comme un reptile venimeux afin d'anéantir mes recherches qui rendaient leur réalité dionysiaque à la fois à Nietzsche et à Nabokov. En d'autres termes : ma thèse doctorale visait à effacer tout l'héritage post-seconde-guerre-mondiale qui faisait des rêves psychosomatiques d'une humanité décadente l'unique avenir possible. Sous ma plume de lettré et de scientifique, la réalité nietzschéenne et nabokovienne redevenait vivante ! Il fallait donc anéantir ma pensée que, par hasard, l'on avait couronnée du titre doctoral à l'université de Nice-Sophia Antipolis (http://anatoly-livry.e-monsite.com/medias/files/doctorat012.pdf).

Au début, je pensais naïvement que c'était seulement quelque prostituée israélienne qui voulait calomnier mes travaux nabokoviens en agitant Pierre Brunel – futur de l'Institut de France – et donc tout le troupeau de la vermine de ses élèves pour m'interdire de ne serait-ce que chercher un poste de maître de conférences chez moi en France. Mais, j'ai par la suite compris à la lecture des rapports du Conseil national des universités (CNU) que, dans ma candeur poétique, j'osais toucher à la tumeur psychique occidentale : le gourou des études slaves de Paris IV-Sorbonne où j'ai enseigné était l'héritier du trotskiste Pierre Pascal (Dr Anatoly Livry, « L'ANARCHO-TROTSKISTE PIERRE PASCAL ET SON ENGEANCE », Moscou, Géopolitica, le 1er décembre 2017 : https://www.geopolitica.ru/fr/article/lanarcho-trotskiste-pierre-pascal-et-son-engeance), Michel Aucouturier, et celui-ci fut non seulement le trotskiste attitré des études slaves de Paris IV – cela, sans pouvoir s'exprimer en russe et utilisant des nègres soviétiques pour ses conférences où il devait citer Tolstoï ou Pasternak – mais surtout le beau-frère de Jacques Derrida, cette petite prostituée installée dans l'Université entre la « Libération » et Mai 68 pour « déconstruire » notre monde en y instaurant le règne de la finance cosmopolite, allant jusqu'à interdire l'examen de cette dernière puisque n'entrant pas dans le domaine des rêves autorisés à être analysés ... C'est cette vermine de Derrida, futur promoteur des viols d'enfants et de l'immigrationnisme (dont on voit maintenant les conséquences bien réelles) qui a rendu Nietzsche issu de la Seconde Guerre mondiale à sa propre image, autrement dit putain ! 

Conseil National des universités <françaises> (CNU) : une forfaiture qui coûte 20 000 000 par an aux contribuables français 

            Quant à moi, ancien enseignant à Paris IV-Sorbonne et docteur de Nice-Sophia Antipolis grâce à ce Patrick Quillier qui rêve de rentrer à l'Institut de France à la mort de son ennemi mortel (suite à une engueulade, lors d'une conférence, - comme Quillier le raconte à tous ses doctorants ... ) Pierre Brunel (http://anatoly-livry.e-monsite.com/medias/files/doctorat012.pdf), j'avais effectué, dans l'Université, une contre-révolution dionysiaque devant les museaux de ces deux ordures crevées, les deux beaux-frères sodomites Derrida et Aucouturier ! Or, actuellement, la vermine des élèves <-fonctionnaires> d'Aucouturier m'envoient leurs « experts » du CNU pour casser ma thèse, travail de recherche que Patrick Quillier – obsédé par sa rentrée à l'Institut de France pour avoir une « revanche » avant de mourir et donc avant de disparaître totalement – estimait digne d'une qualification par ce même CNU[1].

Ils utilisent pour cela la procédure de qualification du Conseil national des Universités qui coûte environ 20 millions d'euros par an : c'est le moment propice pour faire connaître cette forfaiture aux contribuables français ! Oui, le gouvernement de la Ve république maintient de force cette procédure de qualification du CNU (supprimée par un amendement sénatorial en juin 2013 car trop coûteuse, puis maintenue suite à la mobilisation des principaux intéressés), car cette « procédure » permet de fabriquer des Macron et ses électeurs manipulables, victimes de la méthode globale. 

Les « Gilets jaunes » spoliés forcés de verser annuellement la somme de 20 000 000 euros pour maintenir la procédure de qualification du CNU

            Les « Gilets jaunes » – et avec eux toute la France caucasoïde – qui crèvent de faim et qui voient leurs gosses sacrifiés par les élèves de Derrida et de Aucouturier apprécieront cette dépense annuelle de 20 millions d'euros qui vise à maintenir au pouvoir des illettrés arrogants disposant d'un titre professoral et du statut de fonctionnaire, lesquels, crétins haïssant l'humanité, sont prêts à exterminer physiquement les peuples occidentaux pour satisfaire cette démarche « intellectuelle » qui leur a permis de devenir des apparatchiks de l'Université française, autrement dit ces nantis richissimes et esclaves de misanthropes dégénérés tels que le furent feux Derrida et son beau-frère Michel Aucouturier.

[1]   « Monsieur Livry souhaite se voir qualifié en slavistique et en littérature comparée, qualification qui n’aurait dû poser aucun problème selon les professeurs Patrick Quillier (« En principe, avec la liste de publication qu’est la vôtre, plus cette thèse «Très honorable», il ne doit y avoir aucun souci pour l’obtention de la qualification», courriel de P. Quillier à A. Livry du 9 juillet 2011) et Daniel Aranjo, Prix de la Critique de l’Académie française qui dit vouloir attribuer à monsieur Livry les félicitations du Jury de thèse (« Il est vraiment dommage que je n’aie pas été du jury; moi, je vous aurais donné les félicitations; que vous auriez eues, pas à l’unanimité, certes, mais félicitations quand même. Comme vous l’avez vu sur mon pré-rapport, à quelques réserves près dont une sans importance, mon point de vue était très favorable et même parfois explicitement enthousiaste sur votre thèse, que j’ai offerte à la BU de mon université. », courriel de D. Aranjo à A. Livry du 11 juillet 2011). » René Guerra, « Nietzsche, Nabokov et docteur Anatoly Livry », dans HERALD of the University of the Russian Academie of Education, The Magazine is inscribed by the Higher Certifying Commission on the index of leading reviewing scientific periodicals for publications of main dissertation of academic degree of Doctor and Candidate of Science, Moscou, 2015, p. 23. https://istina.msu.ru/media/publications/article/c2b/0da/10634593/Vestnik_2015_04.pdf