Stoltenberg demande à l'Europe 40 milliards par an pour Zelensky

10.06.2024

40 milliards d'euros par an qu'il faudrait donner à Zelensky. C'est la demande faite à l'Europe, non pas par le fou de Kiev, mais par le criminel au sommet de l'OTAN, Stoltenberg. Qui, dans son délire destructeur, ne se contente pas de pousser l'Europe vers la guerre nucléaire mais, pour être sûr de l'anéantissement total du Vieux Continent, veut aussi éliminer toute possibilité de survie économique et sociale.

"Combien de maisons, d'hôpitaux, d'écoles ou de trains seront retirés à notre peuple ? C'est la question que pose Marco Rizzo, leader de Democrazia Sovrana Popolare. Ce n'est pas un hasard si le bon gouvernement italien au service de Washington a changé les règles à l'avance pour empêcher Rizzo de présenter des listes aux élections européennes et si Democrazia Sovrana Popolare ne se présente que dans le centre de l'Italie.

Les autres, en revanche, ne se distinguent que par leur dose de vassalité à Biden, à l'OTAN, à Ursula et à Borrell. Avec Giorgetti qui ne sait pas comment équilibrer les comptes mais n'ose pas dire un mot contre Stoltenberg. Avec des pensions qui ne sont pas adaptées à l'inflation, avec une augmentation de la main-d'œuvre pauvre, avec une opposition qui n'exprime que sa loyauté envers l'Occident collectif et avec des déclarations de plus en plus embarrassantes de la part du Quirinal.

Le tout soutenu, bien sûr, par des médias de service qui ont de moins en moins de lecteurs et de téléspectateurs. Mais plus l'audience diminue, plus la servilité grandit. En attendant de proclamer la mobilisation générale pour la guerre des autres.

Mais il n'est pas nécessaire de souligner les similitudes inexistantes avec le climat qui a précédé la Première Guerre mondiale. Les interventionnistes de l'époque - D'Annunzio, Mussolini, les futuristes - ont vraiment fait la guerre. Mussolini a été blessé, certains futuristes sont morts. Les bellicistes d'aujourd'hui n'iront de toute façon pas à la guerre. Leurs enfants et petits-enfants non plus. Comme il se doit, ils se présenteront aux élections de la semaine prochaine pour se garantir un siège confortable à Bruxelles et non pour se réserver un char d'assaut inconfortable dans le Donbass.

Source

Traduction par Robert Steuckers