L’Ukraine et la sélection négative des «élites» «françaises»

14.03.2024

Ma dernière interview en langue française accordée à Piero San Giorgio en Suisse met à l’épingle les nombreuses failles civilisationnelles qui minent l’establishment occidental et français en particulier. La sélection négative des « élites » dont sont issus le président Macron et toutes ses équipes a été longuement examinée, tout comme leurs maîtres professeurs universitaires en sciences politiques, philosophie et lettres qui dressent cette classe politique française – et chaque nouvelle génération est plus arriérée psychiquement que celle qui la précédait :

« "Français, préparez-vous" : Anatoly Livry nous parle de la mort de Navalny et de la guerre qui vient », le 28 février 2024,

https://www.youtube.com/watch?v=kRjFKM_7eDI

En effet, ce que l’on élève en France, c’est une population de plus en plus coupée de ses racines, voire haïssant le peuple originel de France – ces Français auxquels elle ressemble de moins en moins. C’est en raison de cette sélection négative aussi que des troupeaux d’électeurs écervelés portent à leur tête des gouvernants hors sol, soucieux non plus d’une quelconque France mais de ce « Léviathan européen » duquel ils veulent prendre les rênes pour mieux le démolir au profit d’autres monstres encore plus puissants. Des citoyens de leur pays, ils n’en ont que faire. Voilà pourquoi les Macron et les invertis qui les entourent pousseront les Français dans une guerre contre la puissance russe, au prétexte de « sauver » une Ukraine que la plupart d’entre eux est incapable de situer sur la carte européenne. C’est un grave problème anthropologique que ces parrains de l’Élysée : ils accaparent le pouvoir en trouvant des accords avec d’autres mafieux en vue de piler et de racketter la population. Une fois leur patrie asséchée, ils partiront plus loin vampiriser d’autres nations.

Ces parasites par nature type Macron, détestant la culture authentiquement européenne, constituent la plèbe la plus crasse, mus par les instincts destructeurs de la caste la plus basse des chandâlas. Ces « élites » ne jouissent véritablement que quand est réduite en cendres une splendeur de leur civilisation de jadis : ils massacrent leur langue, leur école artistique, leur architecture et devant ces anéantissements, ils n’éprouvent que plaisir pervers. Mon interview s’intéresse de cette sélection du chandâla par d’autres chandâlas : elle ne fait qu’annoncer des souffrances nouvelles à tout citoyen francophone d’Europe ou d’Amérique.