Le message des vœux 2024 de Macron à ses maîtres: «J’immolerai les Français dans une guerre contre les Russes»

29.02.2024

«In einem sogar entscheidenderen und tieferen Sinne als damals kam Judäa noch einmal mit der französischen Revolution zum Siege über das klassische Ideal…»

Nietzsche  

Les États de l’Europe occidentale ne sont plus gouvernés par leurs élus nationaux, lesquels sont en réalité les otages d’une clique promue par des puissances supranationales. Leur rôle se résume non seulement à une pure gestion économique et administrative des territoires sous leur juridiction, mais surtout à la propagation des slogans de leurs gourous cosmopolites dans la population qu’ils managent. Ces présidents ou premiers ministres européens sont dépourvus de toute existence psychique, étant totalement interchangeables : ils ne sont que les pantins d’une équipe qui saisit au vol les débris des idées des futurs gouvernements globaux qu’ils déversent sur le pays qui leur est attribué sans totalement comprendre de quoi il est question. Le comble : leurs opposants sont sélectionnés par les mêmes cercles de puissance locale et ne pourront en aucun cas être les porteurs d’une quelconque réforme iconoclaste qui pourrait rendre un peu d’humanité à ce peuple qui n’est vu que comme un bétail destiné à être d’abord abruti pour que soient plus facilement vampirisées leurs capacités créatives héritées de leurs ancêtres, puis à être métissé de moins en moins utilement pour être lancé dans les combats d’une troisième guerre mondiale chaude qui les effacera et parachèvera leur remplacement.

Ainsi quand le président Sarkozy à l’École polytechnique de Palaiseau nous parle le 17 décembre 2008 de son objectif qui est de « relever le défi du métissage que nous adresse le XXIe siècle », son équipe qui a pondu ce chef-d’œuvre de rhétorique n’a fait que porter à l’attention de sa population des séquences du discours de ses seigneurs dont elle ne maîtrise pas le sens et la portée même à moyen terme. Et cette ânerie prétentieuse et anachronique que les professeurs universitaires d’avant et d’après Sarkozy ne cessent de répéter – « Le défi du métissage, la France l'a toujours connu. Elle l'a toujours relevé. Elle a toujours au cours des siècles métissé les cultures, les idées, les histoires. » – ne sont que les prémices du message que son acolyte Macron ne nous a sorti lors dès sa première campagne présidentielle quant à cette culture française qui n’existerait point : « Il n'y a pas de culture française. Il y a une culture en France. Elle est diverse. ». En effet, ce n’est pas que ce Macron serait un autre Sarkozy « mais en mieux », mais tout simplement que l’extermination que leurs maîtres nous préparent est de plus en plus proche. Et c’est pour cela qu’il est plus cru alors qu’il doit s’adresser au groupement d’anthropoïdes qu’il gère comme un troupeau kolkhozien.

Entre décembre 2008 et décembre 2023, quinze ans sont passés, temps nécessaire pour élever une population de nouveaux adultes électeurs, totalement demeurés. Il faut donc y aller plus franchement, sans prendre de gant : ainsi en est-il quand des analphabètes – comme le ministre des Affaires étrangères qu’il choisira quelques semaines plus tard – s’adressent à des illettrés. Il faut bien me comprendre : mes critiques ne s’adressent nullement à la seule équipe gouvernante. Tout l’establishment occidental, francophone notamment, a été sélectionné sur des critères de dégénérescence psychique, s’expliquant en partie par la soif de ressources et d’accès à la fornication – soit souvent à une certaine perversité sexuelle – des professionnels qui en sont à l’origine. Ils ont mis en place des critères pour choisir les futures élites contraires à ce qui a fait de l’homme un être humain durant des millénaires – à savoir la créativité désintéressée. Ainsi s’explique le désespoir de la situation actuelle : même les contradicteurs de cette clique institutionnelle de présidents français – que ce soit le clan Le Pen ou un Zemmour – seraient totalement incapables de modifier l’avenir de leur nation même si, un jour, ils accédaient au pouvoir car eux-mêmes, et les équipes qui les entourent, ont été choisis à chaque nouvelle étape de leur carrière par les mêmes destructeurs deshumanisants.

Depuis quinze ans, le défi du métissage a effectivement été relevé et jamais une république de moins en moins française, et même de moins en moins francophone, ne pourra renouer avec les racines celto-germaines de la France. Puisque la créativité et l’inventivité – et donc la productivité – de son peuple se rapprochent désormais de zéro (sans pour autant coûter moins cher à ses maîtres qui s’endettent chaque année davantage pour continuer à l’entretenir), le moment où il faudrait annihiler ces masses inutiles approche. Mais si l’on veut liquider ces francophones de la manière la plus optimale et la plus rentable possible, il faut canaliser cette exaspération bestiale pour pouvoir mieux les envoyer, au bout de quelques années, combattre les Slaves orientaux – autrement dit les Russes. L’ordre donné pour la population francophone dans les années à venir sera donc de faire du Russe un ennemi par excellence afin que tous nos braves détenteurs de passeport de la république dite française aillent mourir sur le front russe après que cette Ukraine imaginaire aura perdu son combat quand elle aura sacrifié jusqu’au dernier Ukrainien sur son front de l’Est.

Telle est l’unique intention sous-jacente du charabia que le président Macron nous a déballé le 31 décembre 2023. C’est lui qui lance les premiers mots-clés de ce long dressage de ses chers concitoyens qui les amènera à crever joyeusement et en masse sur le front russe.

Remarquable cette allocution prononcée devant le drapeau olympique, le drapeau de la communauté dite européenne et ceux de tous les pays admis à participer à ces Jeux par ordre alphabétique – et où le drapeau français est dès lors quasi invisible. Cela donne l’impression aux spectateurs que le président français a choisi comme décor les symboles d’une communauté non fonctionnelle, un drapeau blanc et le drapeau de l’Algérie. Évidemment, pour que soit mieux désigné le nouvel ennemi, les drapeaux russe et biélorusse sont exclus – tout comme les principes des Jeux olympiques ressuscités par le baron Pierre de Coubertin qui aspirait à montrer l’affrontement dans le sport de peuples et non celui d’athlètes naturalisés.

Les trois piliers de ce discours sont le « réarmement », la « planification » et une chimérique « nation » à laquelle ce président potiche a adressé ses vœux, la préparant au sacrifice.

Le « réarmement » du kolkhoze francophone

Commençons par ce « réarmement » qui a produit une minuscule chienlit chez les féministes et les émasculés. Peu importe à ce président le « réarmement économique », le « réarmement civique » ou encore un « réarmement industriel, technologique et scientifique ». Il rabâchait ce terme de « réarmement » (prononcé sept fois, sans compter le verbe portant la promesse de « réarmer nos services publics ») afin de commencer à habituer les peuplades francophones à cette nouvelle tendance pour l’avenir. Surtout il adressait à ses patrons la confirmation qu’il avait bien compris son ordre de mission : « Moi, Macron, je commence par dresser la Ve république contre la Russie avec un budget militaire qui sera doublé sous mes deux quinquennats et surtout le "réarmement" d’une "souveraineté européenne" (notion plus que mythique) face au péril russe ». À 9 min. 10 du discours, l’ennemi russe est clairement pointé. Et Macron associe distinctement le destin de la population francophone à celui des Russes occidentaux, ces prétendus Ukrainiens que l’on a d’abord poussés jusqu’au putsch en 2014 et puis, à la suite d’une ingénierie sociale simpliste, a su retourner contre leurs frères de l’Est : « Vous aurez au mois de juin prochain à vous prononcer sur la poursuite de ce réarmement de notre souveraineté européenne face aux périls : arrêter la Russie et soutenir les Ukrainiens ou céder aux puissances autoritaires en Ukraine […] ». L’avenir des citoyens français – qu’ils soient de souche ou importés – est donc tout tracé : ils seront les nouveaux Ukrainiens qui, excités par une manipulation basique constitueront une nouvelle vague humaine qui sera prête à crever, sur les cadavres ukrainiens, par centaines de milliers en Europe orientale pour satisfaire les desiderata des chefs de Macron à peine invisibles.

Voilà la raison pour laquelle le président élu par les Français nous parle d’un « réarmement de la nation » à 8 min. 30 de son discours que je peux réinterpréter aussi : « Voyez mes maîtres cosmopolites, je commence à préparer mes troupeaux francophones au sacrifice auquel vous les avez prédestinés et je les mènerai contre les Russes quand ils seront prêts – que je sois encore président de la Ve république ou l’un des gouvernants du Léviathan de la communauté européenne. D’ailleurs n’oubliez pas de me réserver une place à Bruxelles car je veux continuer ma carrière globale sur les dépouilles des millions de français que je vous offre. ». Et semblable à ses prédécesseurs fanatiques terroristes de 1793, Macron se réserve le droit de mesurer ce qui est anormal sur notre planète Terre, se gardant le privilège, à l’instar de Westermann en Vendée, de décider qui doit être exterminé et qui doit être sauvé : « Nous devons donc continuer ce réarmement de la nation face au dérèglement du monde. » Et ma référence à la Terreur, génitrice incontestable de Macron et de ses maîtres, n’est point innocente.

La «nation» des aliénés

Quelle est cette « nation » dont parle Macron dès la 40e seconde de l’introduction à son discours, ce terme que cet ancien ministre de l’Économie de Hollande semble soudain découvrir et qu’il ne cesse de répéter dans son allocution ? Nullement retenu par la bêtise de son équipe, le président ne se gêne guère pour avouer ses intentions : il nous replonge dans l’esprit de la révolution, celui de ces massacres inouïs qui marquèrent le premier génocide de l’histoire moderne commis par le pouvoir sur une séquence de son État. Référence ouverte donc à cette Terreur dont les auteurs – des terroristes – ont donné leur nom aux places, stations de métro, boulevards de la république, car c’est dans cette Terreur menée contre les élites véritables de la France, la paysannerie menée par l’aristocratie guerrière de Vendée, de Bretagne, de Loire-Atlantique que cette « nation » est née. N’oublions pas que, à en croire les mémoires du duc de Saint-Simon, quand les rois s’adressaient à leurs sujets, ils respectaient leur authentique multiculturalisme et pluriethnisme en utilisant l’expression « mes peuples » et que ce sont les terroristes, dans leur esprit de révolution tant admiré par Macron, qui ont fondu ces peuples – en en exterminant les rebelles – naguère choyés par leur roi en une « nation » qu’ils ont par la suite utilisée pour leurs guerres fratricides européennes. Ayant perdu tout lien avec les racines de ses aïeuls, ses anciennes provinces et la foi de ses ancêtres, cette « nation » est plus facile à jeter dans les aventures imaginées par les cerveaux fous des idéologues du moment – la première guerre mondiale, le massacre de l’Indochine ou les « événements » d’Algérie où les Européens ont été trahis d’abord, puis sacrifiés aux intérêts cosmopolites. Depuis la loi sur le regroupement familial – soit depuis bientôt un demi-siècle –, l’on nous a fabriqué une « nation » tout autre, charnellement plus compréhensible pour des anthropoïdes comme Macron : celle des détenteurs de cartes d’identité qui s’inscrit dans le sillage du « défi du métissage » de Sarkozy d’il y a quinze ans. Ces déracinés analphabètes, psychotiques et/ou invertis composent la « nation » de Macron et sont naturellement bien plus malléables que les patriotes de 1793. Ils iront au massacre sur les frontières occidentales de la Russie sous l’égide de cet « esprit de la Révolution » macronien et des valeurs « européennes » sans se poser beaucoup de questions. Là les dernières forces vives gauloises qui auraient pu faire obstacle à ce type de sélection effectuée par une minorité ponérologique seront anéanties.

La «planification écologique» comme catéchisme satanique

À ce troupeau d’anthropoïdes il faut naturellement une nouvelle religion. Il faut que cette croyance soit à la fois postmarxiste et sans-frontiériste. Il faut que cette nouvelle Église sataniste ait une catéchèse pour ses illettrés. Voilà à quoi sert l’écologisme. Quand Macron évoque dans son discours à double reprise la « planification », il ne s’agit bien sûr pas de la résurrection d’un commissariat général au Plan gaulliste, lequel était dirigé par la dernière génération d’ingénieurs français encore capables d’inventions – car ils n’étaient pas illettrés, la majorité d’entre eux ayant eu la chance d’aller à l’école à l’époque du maréchal Pétain. Il ne s’agit pas non plus des organismes de planification dressés par des militaires nationalistes ou services spéciaux dévoués à leur peuple dans des pays post-seconde guerre mondiale tels que le Japon ou la Corée du Sud – ce qui a été à l’origine de leur miracle économique. Non, car pour cela il faudrait un autre mode de cerebral sorting, contraire à celui que préconisent les maîtres globalistes de tous ces petits Macron occidentaux. Ces derniers ont beau penser qu’ils auront toujours des créateurs élitistes de luxe à leur disposition, ils ne comprennent pas que le raffinement culinaire, vestimentaire… se crée exclusivement grâce à l’élévation du niveau moyen de la population nationale – différente dans chaque État-nation – et que seule cette élévation progressive produit des explosions de génie individuelles, de façon naturelle et spontanée. Mais ce cloaque de fanatiques dégénérés n’offre aucun génie créateur (à l’exemple de ces professeurs universitaires français, fonctionnaires du ministère de l’Enseignement de la république ne maîtrisant absolument pas leur langue maternelle française). Ici surgit le mot interdit pour ces psychotiques du pouvoir : « naturel ». En le prononçant, je commets le péché suprême pour cette nouvelle Église de la dégénérescence qu’est cet écologisme cosmopolite cher à Macron que de plus il a la prétention de vouloir « planifier ». Dans son discours, à 4 min. 05, il nous parle d’une « planification écologique inédite » intrusive dans la vie de chaque individu – autrement dit devenue une authentique religion d’État. Et, à 7 min. 20, il ajoute : « […] notre écologie, cette écologie à la française, notre planification continuent de se déployer comme un modèle et un chemin singulier […] ». En effet, Macron nous parle toujours de climat ou d’écologie, mais jamais de la nature – qui elle devrait réellement être protégée. Ces fanatiques sont guidés par une pensée magique d’infantiles, n’ayant jamais eu un père qui imposerait l’ordre et une mère qui leur donnerait de l’amour désintéressé et des repères. Tous ces clones de Macron vont donc chercher tout cela, une fois adolescents tardifs et retardés, auprès de leurs maîtresses d’école. Voilà pourquoi ils fabriquent des lois iniques qui condamneront ceux qui osent évoquer le « naturel » pour la nature et l’une de ses séquences, l’être humain. Voilà pourquoi ils proclament cette nécessité de répondre aux obligations religieuses d’un certain écologisme « planifié ».

Tel est leur but à peine dissimulé : dissoudre les séquences des anciens peuples de France dans une Marianne prostituée et métissée – rappelons que, sous la présidence de François Hollande, sa représentation timbrée a été inspirée par une Ukrainienne féministe, les prémices d’une attaque symbolique anti-russe – que Macron et les siens appellent « nation », la « réarmer » et la rendre chaque année de plus en plus écervelée et donc de plus en plus fanatisée afin de pouvoir lancer en France un nouveau « Maïdan psychique ». Le but de tout cela : mettre sur pied une nouvelle « nation » terroriste, colonne infernale ressuscitée guidée par une religiosité psychopathique – l’écologisme – qui aura été de surcroît « planifiée » aux frais de ce contribuable local conduit au massacre quelque part entre la Russie et la Pologne afin que les patrons de tous ces minables Macron aient enfin quelque sourire d’approbation qui ne soit pas sinistre. Une fois réalisées les intentions portées par Macron dans son allocution, j’ai du mal à croire qu’il restera en Europe occidentale quelques Celtes ou Germains dans lesquels couleraient encore des gouttes de l’héritage de leurs glorieux ancêtres.