La Suède ou la haine de soi de l'Européen
Scandinaviste et spécialiste du cinéma suédois, j'analyse l'expression du septième art en vue de définir l'avenir de l'Européen, voire de fournir des conseils d'ordre géopolitique et militaire en me fondant sur la dissonance cognitive qui empêche l'Indo-européen de l'Ouest de se défendre contre son adversaire le plus féroce à l'instar de ces espèces du passé disparues à cause de leur appareil auditif ou visuel qui ne parvenait plus à discerner les prédateurs qui avaient fait d'elles leurs proies préférées. C'est le pessimisme de puissance qui a poussé l'homme blanc occidental dans ses rêveries optimistes devenues ses propres terreurs. Il se peut que la violente occupation d'un peuple consanguin le réveille, le fasse revenir à la normalité afin qu'il se dise enfin clairement : « J'ouvre la porte devant mes ennemis, je me mélange avec eux et je disparais parce que j'éprouve une haine incommensurable envers ma propre race ! Il est peut-être venu le temps de tenter de survivre en s'attaquant à mon ennemi ? ». Voilà pourquoi peut-être une occupation par une autre puissance blanche ferait un bien curatif à nos peuples de l'Europe de l'Ouest.
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Film catastrophe : alerte ou rêverie funeste ?
En 1968, en plein durant cette attaque subversive qui devint la matrice de toutes les futures révolutions de couleur et à partir de laquelle le trotskisme a submergé l'Occident, Ingmar Bergman sort un chef-d'œuvre du film catastrophe Skammen: un couple incarné par ses acteurs préférés, vivant dans un semblant de bonheur insulaire, voit son univers démoli par une guerre qui révèle le Menschliches, Allzumenschlichesde chaque personnage. La Honteconstitue le dernier cri de l'homme occidental qui tente de ne pas sombrer dans cette rêverie désespérée que deux psychopathes pseudo-intellectuels, Deleuze et Derrida, ont empruntée chez Lacan et déversée sur notre monde. Bergman sait que les symboles et les images rêvées, sans la gifle que constitue l'arrivée d'une puissance dionysiaque éveillant l'homme face à ses racines ethniques les plus profondes, extermineront racialement l'homme occidental.
En 1986, l'éternel copieur Andreï Tarkovski, à la fin de sa vie et de la guerre froide, pompe littéralement les idées de Bergman, jusqu'à lui emprunter ses acteurs préférés du moment, son directeur de la photographie, sa responsable des décors, son univers insulaire de la Mer Baltique et fait jouer, en suédois, son ultime Offret. Le scénario catastrophe est entièrement présent, l'occupation d'une puissance étrangère frontalière annoncée par les informations étant évitée in extremis par l'immolation par le feu d'un habitat.
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La guerre civile et ethnique suédoise
Nous sommes en Suède à la fête du Midsommar2018. N'oublions pas que durant cette même année, la Suède a distribué à ses habitants, dont le nombre a brutalement dépassé les dix millions à cause d'une « invasion humanitaire » venue d'Afrique et d'Asie, des brochures censées les guider si une armée étrangère pénétrait sur le territoire, les médias suédois ayant clairement indiqué la menace d'une occupation russe : « En cause : la multiplication des opérations militaires de la Russiedans les pays du nord de l'Europe, les pays baltes, la Pologne, la Norvège, la Finlandeet la Suède.» [1]
Par ailleurs, depuis plusieurs années, la Suède est devenue le centre reconnu de viols de masse de femmes autochtones par des mâles étrangers venus d'Afrique et d'Asie [2]. La folie du politiquement correct est telle que jamais les femmes et les hommes politiques suédois n'ont osé décrire clairement les violeurs, lesquels, parallèlement, prenaient possession de zones entières du territoire national – et là non plus, le pouvoir suédois ne pointait clairement l'ethnie de l'occupant : https://www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=thXCb1VUBDg. Simultanément, la déraison féministe s'amplifiait : des furies scandinaves s'attaquaient aux hommes blancs créateurs de chaque civilisation, leur faisant porter la responsabilité de ces viols dont les vrais auteurs avaient invités d'Afrique et d'Asie, avec une persistance effrénée et sans cesse grandissante, l'expulsion des criminels étrangers étant sabotée par les mêmes psychopathes féministes guidées par le frénétique racisme anti-blanc [3].
Quant au premier ministre suédois, il ouvre les portes de sa patrie aux terroristes de l’État islamique naguère naturalisés Suédois, refusant de les déchoir de leur nationalité [4]– et, dans ce pays, pas un professeur universitaire, pas un artiste, par un écrivain n'ose blâmer publiquement cette haine de soi devenue religion de cette Suède suicidaire ! La Suède, naguère pacifique, qui avait réussi à créer un univers quasi paradisiaque accomplissement de ce dont est capable un peuple nordique si on ne l'attire pas dans la guerre durant un peu plus d'un siècle, est devenue le théâtre de conflits civils ethniques larvés et jamais nommés. Pourtant, les territoires conquis par les tribus africaines et asiates sont de plus en plus dangereux, les services, publics ou privés, de cet État qui les financent n'osant plus y mettre le pied[5]: le désastre suédois rattrape à grands pas l'enfer qu'a su créer la république dite « française » qui se trouve de facto en état de guerre depuis l'attaque du Bataclan et qui s'est changée, par son régime d'urgence normalisé, en une authentique tyrannie emprisonnant tout esprit libre ou lui imposant la fuite.
Quiconque visite la Suède sans lâcheté, autrement s'étant débarrassé de la niaiserie « multiculturaliste », constate le nombre grandissant d'allochtones haïssant le peuple qui les a pourtant accueillis, reconnaissables à l'œil nu. Nous savons tous que ces peuplades sont pacifiées par des injections financières monstrueuses qui ruinent les membres de l'Union européenne. Dès que ces versements cesseront, les armes de guerre dissimulées dans ces zones occupées sortiront et la Suède se retrouvera à feu et à sang : les allochtones, à Göteborg, à Uppsala ou à Malmö s'amusent déjà à carboniser des centaines de voitures pour marquer, selon leurs traditions tribales, les frontières par des terres brûlées.
Venons-en maintenant au cœur de notre sujet : le film Den blomstertid nu kommer sorti sur les écrans le 20 juin 2018 et que l'on peut considérer comme un navet sur le plan créatif mais qui se révèle très précieux pour analyser la psyché occidentale. Par son titre, il travestit naturellement le Stormaktstiden, cette époque de la toute-puissance de l'Empire suédois ayant commencé avec l'accession au pouvoir de Gustav II Adolf et s'étant terminée avec la Grande Guerre du Nord. Le genre du film catastrophe est parfaitement respecté : la Suède est submergée par des actes terroristes qui visent innocents et membres du gouvernement, puis par des attaques chimiques venant d'une force non nommée, Vladimir Poutine apparaissant cependant à la fin de « l’œuvre » sur l'écran. Le spectateur est amené à conclure que la Russie étant empêchée par la Suède de vendre son pétrole puisque ne respectant pas les « normes écologiques » (une autre folie occidentale, dogme de la religion réchauffiste) attaque sournoisement son voisin scandinave en faisant, par cette agression, perdre la mémoire à quasi un million d'habitants de la Suède, heureusement secourus par les armées occidentales – autrement dit : elle se trouve ainsi totalement dépossédée de son ancestrale neutralité.
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La dissonance cognitive engendrée par la psychopathie du politiquement correct
Chaque spécialiste en histoire regarde ce chef-d'œuvre de manipulation reprenant tous les lieux communs et donc obtenant naturellement des subventions étatiques avec un sourire entendu : dans l'Empire romain, face aux crises internes, on canalisait l'attention de la plèbe souffrante sur la menace des Germains ou sur les guerres en Gaule, faisant accepter des réformes étatiques qui pressaient davantage les couches civiques inférieures soudain dociles devant la menace barbare.
Or la Suède actuelle ne sait que faire face aux hordes de sauvages qu'elle avait admis sur son sol. Les oligarques suédois et la famille régnante des Bernadotte (elle-même bel et bien issue de ce terrorisme parisien ayant débuté en 1789) savent, devant l'exemple de la France ou de la Grande-Bretagne, que des Africains et Asiates nés dans les enclaves qu'ils occupent sur le territoire d'un pays occidental ne s'assimilent ni même ne s'intègrent – ils le savent mais sont incapables de le verbaliser ! Par ailleurs, plus des Africains et Asiates sont gâtés, plus ils éprouvent une haine raciale envers le peuple d'accueil qui les soutient, pour eux, par lâcheté. Les gouvernants de la Suède ne sont pas totalement psychopathes pour ne pas comprendre que les zones d'occupation africano-asiates s'étalant et se multipliant, le paradis nordique sombrera dans le Dark Age et que les femmes suédoises seront violées par milliers sans jamais obtenir d'aide de forces de l'ordre qui ne pourront que leur donner un conseil de bon sens racialiste : ne jamais se rendre dans les zones où règnent des tribus allochtones – ce qui justifie donc de facto l'apartheid de l'Afrique du Sud de l'époque du président Vorster.
Que voit-on alors dans ce navet Den blomstertid nu kommer qu'il faut absolument considérer sous l'angle de l'étude anthropologique ? Ou plutôt : que ne voit-on pas, en dépit de toute la réalité suédoise ? Pas un Africain ou Asiate n'apparaît, sur l'écran, dans les foules apeurées par une agression militaire étrangère ! Le réalisateur tout politiquement correct qu'il est se révèle soudain étrangement raciste, expurgeant ethniquement l'image de la population de son pays. Toutes ces centaines de milliers d'Afghans, de Maliens, d'Albanais, d'Égyptiens, d'Érythréens, de Soudanais, ... qui parsèment les rues et les films suédois ont soudain disparu !
Là, une puissance potentiellement hostile à la Suède peut discerner une faille d'ordre psychique dans la défense de ce pays : dès que la Suède réelle – et non imaginaire, comme celle des cerveaux dégénérés par le politiquement correct – sera agressée, tous les Africains et les Asiates, même naturalisés Suédois, de ces zones occupées prendront les armes et s'attaqueront à chaque commerce dont le pillage se révèlerait fructueux. Ils le feront guidés par leur instinct racial et dirigeront leurs razzias contre les Blancs autochtones, devenant ainsi les alliés de la puissance ennemie de la Suède (le même scénario est applicable en république dite « française », en Grande-Bretagne, en Belgique, etc.). Nous sommes en présence d'une authentique dissonance cognitive des détenteurs du pouvoir : ils savent que les Africains et les Asiates que la Suède a accueillis en son sein haïssent racialement les Suédois, ces allochtones étant les alliés idéologiques des oligarques mondialistes de la Suède qui, eux aussi, détestent leur propre peuple, leur mode de vie, leur religion, leur structure normale et antique de la famille où l'homme est un homme et où la femme est une femme, chacun avec ses fonctions définies. Les élites savent qu'en cas d'attaques extérieures, les étrangers acceptés en Suède massacreront les autochtones. Pire que l'armée d'une puissance adverse. Mais craignant pour leur propre carrière, les dirigeants n'oseront jamais nommer cette haine raciale qu'éprouvent pour eux les Africains et les Asiates. Verbaliser cette réalité pourtant confirmée chaque jour par des viols et des assassinats de Suédois serait s'avouer « raciste », autrement dit hérétique face à la folie collective exerçant sa tyrannie.
Le réalisateur du navet est un esclave fidèle de cette dissonance cognitive, excluant totalement les Africains et les Asiates de son long film de plus de deux heures, car ne pouvant certainement répondre à une question qui, si cela se trouve, ne lui vient même pas à l'esprit : quel rôle attribuer à ces représentants de la diversité ethnique reconnaissables à l'œil nu autre que l'unique rôle qu'ils peuvent réellement avoir, celui d'attaquants racistes envers les Suédois ? En revanche, le grand méchant loup russe est bon à être désigné comme adversaire : il s'agit d'un pays peuplé de Blancs qui respecte la séparation du masculin et du féminin, les traditions et religions ancestrales et qui bannit la propagande effrénée de la sexualité non productive. Par cette posture, le Russe incarne l'adversaire par excellence du globalisme métisseur donc la Suède s'est fait un héraut suicidaire.
De là, le conseil stratégique à donner à toute armée étrangère qui voudrait envahir la Suède : investissez davantage dans les territoires occupés par des tribus venues d'Afrique ou d'Asie, car ce sont vos alliés face à un pouvoir suédois psychiquement inadéquat ! Au moment où vous traverserez les frontières du royaume, ils porteront la destruction, guidés exclusivement par la rapacité et par la haine raciste anti-blanc à laquelle les forces de l'ordre suédoises ne sauront répondre car il faudrait pour cela qu'elles aussi soient capables de discerner racialement l'attaquant. C'est un grand amateur de la langue, de la littérature et du théâtre suédois qui vous le conseille : une invasion d'une puissance blanche pourrait éventuellement ramener les Scandinaves rêveurs à lutter pour leur survie ethnique.
[1] « Comment les Suédois se préparent à la guerre »,Le Point, Paris, le 17 janvier 2018: https://www.lepoint.fr/monde/comment-les-suedois-se-preparent-a-la-guerre-17-01-2018-2187567_24.php
[2] « De är män som våldtar kvinnor tillsammans », Expressen, Stockholm, le 20 mars 2018: https://www.expressen.se/nyheter/brottscentralen/qs/de-ar-mannen-som-valdtar-tillsammans/
[3] « Elin Erson försökte stoppa utvisning – av en 52-årig afghan dömd för misshandel », Samhällsnytt, Stockholm, le 27 juillet 2018: https://samnytt.se/elin-erson-forsokte-stoppa-utvisning-av-en-52-arig-afghan-domd-for-misshandel/
[4] « Löfven om IS-återvändare: Då har man rätt att stanna », Expressen, Stockholm, le 4 mars 2019: https://www.expressen.se/nyheter/lofven-om-is-atervandare-da-har-man-ratt-att-stanna/
[5] « UPS levererar inte paket till Rosengård: ”Risk för att utsättas för rån” », Sydsvenskan, Malmö, le 23 février 2019: https://www.sydsvenskan.se/2019-02-23/ups-levererar-inte-paket-till-rosengard-risk-for-att