Navalny: présidents français et oligarques russes corrompus

20.02.2024

À la suite d’une sélection pathocratique des cadres en Occident qui dure depuis déjà plusieurs générations, nous avons abouti à une gestion génocidaire du bien commun dont le but est l’extermination de ses propres peuples dans une atmosphère de frénésie permanente. L’Université française prend activement part à cet écervellement de l’establishment national. C’est pourquoi il est inutile, voire contre-productif, de vouloir entrer en discussion avec nos gouvernants quant à une affaire quelconque. L’unique méthodologie à adopter, c’est de prendre leur système de fonctionnement autodestructeur, de l’analyser et de le présenter dans toute sa splendeur schizophrène à leurs adversaires dans l’espoir qu’ils feront choir une certaine république pour le bien des restes de son peuple autochtone.

Voici un exemple digne d’être réédité, car lié à l’affaire de la mort naturelle de Navalny, très utile pour la guerre que l’on mène contre la Russie et très nuisible à son président actuel qui se trouve en pleine campagne électorale. Nos créatures francophones écervelées, tant de gauche que de droite, s’insurgent devant le décès de ce repris de justice de Navalny – souvenons-nous que sa première condamnation était pénale à la suite d’une escroquerie dénoncée par une grande entreprise française. Les mêmes grands esprits occidentaux ne s’indignent cependant nullement devant les poursuites par les États-Unis d’un Assange ou d’un Snowden refugié en Russie. Nos grands antiterroristes ne s’indigent nullement devant l’assassinat de Daria Douguina au centre de Moscou, ni devant la torture de journalistes occidentaux par le pouvoir ukrainien. Relisons donc mon article édité il y a quasi 6 ans où, publiquement, je mettais le pouvoir français devant son ridicule « deux poids deux mesures » concernant un Navalny alors encore vivant. J’avais révélé que cet ancien escroc de journaliste avait très justement attaqué un multimilliardaire russe à l’époque, Mikhaïl Prokhorov. Ce Navalny a découvert les pots-de-vin que l’oligarque avait versés à des fonctionnaires corrompus contre des biens immobiliers en Italie et je posais une question logique au pouvoir français : « Comment ce Prokhorov peut-il continuer à être chevalier de la Légion d’honneur alors que Navalny l’avait désigné comme corrompu ? » Naturellement pas de réponse à cette question posée publiquement qui, d’ailleurs, a été transmise par courrier à l’Institut de la Légion d’honneur à Paris. Dans cet article publié en 2018, je m’interrogeais tout naïvement sur l’éventualité selon laquelle le multimilliardaire Prokhorov serait l’un des bras financiers de l’Occident en Russie et que le pro-Occidental Navalny aurait fait une connerie en s’attaquant publiquement son confrère dans la lutte anti-Poutine. D’ailleurs quel n’a pas été mon étonnement quand en février 2022, le multimilliardaire Prokhorov soudain se déclarait mon consanguin juif ashkénaze et avait obtenu le passeport israélien.

Le comble : toujours pas une réponse de la république dite française qui protégeait son chouchou Navalny. Notre establishment anti-russe voulait garder à la fois un milliardaire apprivoisé par la légion d’honneur et une victime officialisée du pouvoir russe en place. Le pouvoir français et l’Institut de la Légion d’honneur sont donc faits les complices d’un corrompu russe, coulant une chappe de plomb sur l’enquête du pauvre Navalny.

Cet article prophétique que vous, lecteur, pouvez consulter maintenant, au début de 2024, est aussi une forme d’appel aux derniers hommes libres francophones : cessez d’être les moutons de Panurge de ceux qui détiennent le pouvoir, car la seule chose que vous ou votre descendance obtiendra de cette collaboration, c’est de connaître le sort de Navalny ou de tout le peuple ukrainien, à savoir disparaître comme le guignol totalement interchangeable que vous serez devenu :

Dr Anatoly Livry, « Présidents français et oligarques russes corrompus : le déshonneur de la Légion d'honneur », Geopolitika, Moscou, le 1 mai 2018,  https://www.geopolitika.ru/fr/article/presidents-francais-et-oligarques-russes-corrompus-le-deshonneur-de-la-legion-dhonneur.

La longueur du titre de cet article est nécessaire pour expliciter à l'intention des Français une affaire de corruption russe qui paraît, au premier abord seulement, interne à la Russie, mais qui touche en fait au plus profond de l'honneur de cette république française dont les derniers présidents – surtout Macron – ont fait de l'ordre fondé par Bonaparte une forme de récompense « hautement morale » qu'ils décernent dans un fracas international – et qu'ils retirent également au milieu du brouhaha des journaleux, ainsi la dernière «punition » que le régime macronien a infligée au président de la République Arabe Syrienne. Pour pouvoir analyser les failles ridiculisant ce régime – et je répète ce terme de « régime » consciemment – républicain français (cette parcelle obéissante de l’Union dite « européenne »), il faut être au fait des processus internes non seulement de la France mais aussi de la Russie, afin de pouvoir mettre en relation des actes gênants pour nos démocrates présentant l’univers de façon simpliste et manichéenne, psychiquement abordable pour leurs heureux électeurs. 

Voici un scandale corruptionnel russe révélé par la coqueluche des bien-pensants mondialistes, Alexeï Navalny, duquel ils ont pris la défense d'une façon acharnée après que celui-ci a été écarté de la course à la présidence russe en raison d'une alors récente condamnation pénale. Détenant un centre panrusse de dénonciation de la corruption, Navalny se venge naturellement du président russe triomphalement élu en ouvrant ses archives à l’occasion des derniers événements et en voici un qui vaut effectivement la peine d’être examiné, et ce, pas seulement en Russie, mais aussi chez nous en Occident : un vice-premier ministre de Russie Alexandre Khloponine (lui aussi mon coreligionnaire juif, selon le journal Lechaim), alors en charge de la gestion des ressources souterraines du pays vient de vendre au magnat du nickel russe, considéré par Forbes (Israël) comme la 16e fortune mondiale juive, sa villa italienne estimée par Navalny à environ trois millions d’euros. Au terme de cette transaction, le vice-premier ministre aurait encaissé la somme de 35,5 millions d’euros – ce qui, selon l’« anticorrupteur » russe, serait une sorte de bakchich officialisé, versé par le milliardaire Mikhaïl Prokhorov au fonctionnaire chargé de son secteur d’activité. Ce prétendant, le sycophante Navalny ne fait qu’officialiser une enquête précédemment menée par les journalistes de la BBC, s’engageant donc intentionnellement, poussé par sa haine envers le gouvernement de son pays, dans le bras de fer qui oppose la Grande-Bretagne à la Russie, mais acceptant surtout un rôle dans l'antagonisme centenaire entre le clan de mes coreligionnaires de l'Ouest et le Kahal de leurs consanguins orientaux. Navalny conclut son enquête, disponible sur YouTube et qui a été effectivement visionnée par des centaines de milliers d'internautes, par un appel au président de la Russie à se tourner contre son propre vice-premier ministre afin de le punir. L’« anticorrupteur » adoubé par l’Occident suppose sur-le-champ que le fonctionnaire ne sera ni inquiété ni châtié, présumant que son concurrent aux élections présidentielles passées est dépourvu de tout honneur.

En revanche, ce que cet ennemi de l’intérieur russe n’a pas verbalisé et que ses relais européens et américains ont aussi tu, c’est que le multimilliardaire russe Mikhaïl Prokhorov, tout aussi impliqué dans ce scandale que le fonctionnaire poutinien, est l'un des pions de l'Occident, authentique leader de la « cinquième colonne » en Russie. Arrêté en 2007 suite à une affaire de mœurs à Courchevel par Sarkozy alors ministre de l’intérieur, Prokhorov a su trouver un terrain d’entente avec le ministre devenu présidentiable, lui apportant le même type de soutien pour sa campagne que Mouammar Kadhafi – source d’une instruction pénale française que l’on essaie en ce moment même de passer, par un coup de force digne d'une idiocratie solidement instaurée, sous silence à Paris. Naturellement, Mikhaïl Prokhorov n’a pas pu être assassiné comme Kadhafi en signe de « gratitude » car protégé par la puissance russe. Ainsi, ancien incarcéré à Lyon, Prokhorov a reçu la Légion d’honneur du président Sarkozy en 2011, tout comme son prédécesseur Chirac avait offert dix ans auparavant la Grand-Croix de la Légion d'honneur à Bachar el-Assad, ruban que Macron a maintenant repris à l’heureux élu.

Il serait bon de reprendre l'appel de cet « adversaire de la tyrannie russe » Navalny pour le transmettre à Macron afin que, en tant que grand maître de la Légion d’honneur, il reprenne les documents relatifs à cette corruption mis en ligne et invite le Conseil de l’Ordre de la Légion d’honneur à une enquête interne, celle-ci sera d’autant plus facile à mener qu’il suffit de faire une étude immobilière dans la Toscane pas trop éloignée, à Forte dei Marmi. Et, si ces suppositions sont vraies, il faudrait aussi retirer la Légion d’honneur à Mikhaïl Prokhorov.

J’aurais pu terminer mon article là mais je ne le peux, car si j'ai daigné m’intéresser à ces personnages minables, c'est uniquement parce que je ne peux exercer chez moi en France mon métier d’enseignant-chercheur universitaire ou publier mes œuvres scientifiques et littéraires : docteur de l’Université de Nice-Antipolis, slaviste, germaniste, philosophe, théologien, politologue, spécialiste en littératures française et grecque antique, reconnu car maintes fois publié par mes pairs hellénistes, lauréat de prix littéraires russes et américains, je me retrouve désœuvré et dissident face à l’establishment occidental suite au financement d’un groupe de pression qui ne cesse d’intervenir auprès des facultés et des éditeurs chaque fois que ces derniers m’offrent une tribune. Ce groupe de pression international est rémunéré pécuniairement ou en nature par un fond créé grâce à l’argent puisé dans les profondeurs de la Russie par Mikhaïl Prokhorov. Ce fond est géré par sa nièce, la fille d’Irina Prokhorova, sœur de l’oligarque russe, éditrice à Moscou et « chevalière » de la Légion d’honneur, laquelle lui avait été décernée dans l’ordre hiérarchique familial – soit un an après son frère – par Hollande. Irina Prokhorova est le bras armé du globalisme en Russie, face dissimulée mais non moins authentique de Mikhaïl Prokhorov. C’est elle qui publie à Moscou les excréments de ces slavistes français qui s'adonnent eux à des activités tout aussi corruptionnelles mais au sein du Conseil national des universités (CNU) en appelant notamment leur hiérarchie à me poursuivre en France. Il est clair que le régime français – je le vois grâce à mon expérience, depuis 2011, avec la corruption du CNU – ne parvient à accepter psychiquement quelque critique que ce soit, n'ayant comme toute réponse qu'une violence perverse et bestiale, digne d'une structure issue d'une longue sélection pathocratique. Ces fonctionnaires de la slavistique française, psychiquement inaptes à toute recherche scientifique, mais hôtes permanents d’Irina Prokhorova à Paris, éprouvent une haine raciste envers les peuples slaves, haine qui leur avait été léguée par l’agent trotskiste feu Pierre Pascal, ce gourou qui a choisi les cadres de la slavistique française, même parmi des violeurs récidivistes. Je le répète, l’unique critère de sélection réside dans la haine raciale envers tous les peuples slaves et ce racisme perdurera tant qu’ils ne seront pas métissés avec l’Afrique subsaharienne qu’on importe par bateaux entiers vers l’Europe, – et là nous sommes au centre d’oppositions géopolitiques brulantes :

«Вот почему, кто бы ни сидел в президентском кресле РФ, для космополитов он навсегда останется "фашистом" или "крайне правым", эдаким исчадием преисподней — фантастическим "Гитлером", противящимся разрушению рубежей государства, обоих полов и этносов. И так пребудет пока Россия не превратится в пространство, населённое мулатами, квартеронами, окторонами, седецимионами и чистыми "конгоидами", — обязательно содомско-толерантного исповедания! — организовавшими закрытые, разделённые по расовому и сексуальному типу сообщества, яро ненавидящие друг друга. Лишь таким "русский" станет наконец терпим мондиалистам.».

J’appelle donc, au contraire de Navalny, non pas le président russe mais celui de la Ve république française à reprendre, en sa qualité de grand maître de la Légion d'honneur, l’enquête visant l’oligarque russe Mikhaïl Prokhorov, à la mener de façon objective et à déchoir, si nécessaire, de la Légion d’honneur son protagoniste et sa sœur malgré le fait qu’ils soient, contrairement au président Bachar el-Assad, les auxiliaires idéologiques de ce cosmopolitisme occidental, éternellement liés ce faisant tant à mes coreligionnaires juifs qu'aux coteries sodomites.