L’Université française, temple du trotskisme génocidaire
« Supporterons-nous que des milliers d'hommes, en ce temps, souffrent et se révoltent de notre refus de témoigner, de notre lâcheté, de notre fausse commisération ? »
Maurice Bardèche
Ce bref essai est le témoignage d'un philosophe depuis longtemps accoutumé à analyser les tendances politiques engendrées par le plus profond de la nature humaine. Ce sera cependant l’une des rares fois où j'introduirai des éléments autobiographiques dans mon examen de politologue : semblable à un zoologiste qui a consacré son existence à l'étude du comportement des chacals, j'illustrerai ma thèse sur le génocide perpétré par le trotskisme universitaire français à travers le monde par mon témoignage personnel quant aux agressions que j'ai subies de la part de ces charognards. Il s'agit de mémoires uniques en leur genre, car je suis le seul non seulement à avoir fréquenté des débris trotskystes au sein de différentes universités occidentales pendant plus d'un quart de siècle, mais à également avoir su recueillir les dénonciations officielles auxquelles les fonctionnaires adoubés par le trotskisme français devenu institutionnel se sont adonnés et qui, pour la première fois, dévoilent leur essence.
En 2001, je fus invité, à l'âge de 28 ans, à délivrer des cours à des étudiants de troisième année, devenant ainsi le plus jeune enseignant à qui ce niveau fut confié au sein des Études Slaves de Paris IV-Sorbonne, et ce, sans expérience préalable en pédagogie académique. Il m'a été ouvertement déclaré que l'on m'avait choisi parce que Juif et que l'on attendait de moi que je concède à tout sur le chemin qui devait me mener au professorat universitaire, autrement dit : non seulement coucher avec de vieilles prostituées israéliennes élues au titre de professeur de la Sorbonne par leurs maquereaux trotskistes français de souche, calomnier en meute avec eux ou se syndiquer en vue de siéger dans des soviets immondes, mais surtout consacrer l’ensemble de ma carrière à l'anéantissement des peuples slaves – puisque c’est l'unique activité des ceux que l’on appelle communément « russistes » en Occident – ainsi que de la France, de tous les peuples blancs, puis de l'Eurasie dans son ensemble. Le nom de Trotski n'était jamais prononcé, car déjà deux générations séparaient ceux qui m'avaient ainsi « instruit » de l'émissaire francophone de Leïba Bronstein – cette nullité scientifique Pierre Pascal qui avait introduit le nivellement par le bas, l'idéologie de son maître, au sein de l'Université française.
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Ceux qui m'avaient fait entrer à la Sorbonne étaient donc les purs produits de ce « trotskisme de troisième génération » que l’on rencontre dans les coins les plus reculés de l’Occident contemporain : cocottes semi-professionnelles, cancres illettrés et incultes, animés par une haine frénétique de la Science et de l'Université française qui les avait accueillis, ces Untermenschen portant le titre de professeur et siégeant au Conseil national des universités (CNU) haïssent l'humanité et désirent l'extermination de ces peuples slaves dont ils sont censés enseigner la langue, la civilisation et la littérature. Voilà pourquoi si naguère en France une personnalité académique pouvait, malgré le troupeau mugissant des apparatchiks, accéder à la chaire professorale afin d'élever une jeunesse dotée de culture et d’esprit critique, après cette centralisation incarnée par le CNU en 1945, chaque scientifique de talent se voyait barrer la route par des trotskistes mous ou surtout fonctionnaires invertébrés et décérébrés nageant dans les excréments trotskisants devenus leur unique environnement doctrinal professionnel. En effet, aucun des professeurs « russistes » français ou suisses ne maîtrise réellement la langue russe [1] ou, s'il est né en Union soviétique, il fut obligé de se prostituer pendant de longues années afin d'hériter du poste de son maquereau-professeur tombé dans la sénilité. L'unique résolution « académique » de ces professeurs est de diffamer et de rédiger des dénonciations calomnieuses auprès de la police française, dénonciations qu'ils transmettent comme de bons apparatchiks trotskistes au Ministère de l'enseignement supérieur afin de fabriquer, avec des gratte-papiers qui sont des fonctionnaires du même acabit que ces « professeurs russistes », des crises d'hystérie groupusculaire pour éloigner celui qui entre dans l'Université guidé par la passion des lettres russes.
Car le collectivisme hystérique est l’unique forme de l’existence et de l’appréhension du monde du trotskisme dit « universitaire ». Il était donc logique que, slaviste ayant reçu des prix internationaux en Russie [2] (avant que les comités de différents prix ne subissent des pressions venues de la Sorbonne et de l'Université de Genève), helléniste [3], théologien [4], germaniste [5], philosophe [6], spécialiste en littérature française [7], reconnu par mes pairs universitaires de l'Eurasie car édité par eux[8], homme de lettres russe qui fut le plus jeune lauréat du prix Marc Aldanov [9], je me voie refuser ne serait-ce que le droit de chercher un poste de maître de conférences en France, victime des calomnies des apparatchiks trotskistes de l'Université française.
J'ai réuni scrupuleusement ces documents officiels pendant des décennies afin de pouvoir démontrer la longue déchéance humaine voulue par Pierre Pascal et obtenue au terme des trois générations de professeurs « russistes » qu'il a imposés à l'Université occidentale. Car si un Français actuel a perdu quatre points de QI en quelques années, si un Français adulte sur dix est totalement illettré (selon une enquête officielle réunissant des données depuis devenues encore plus catastrophiques et donc dissimulées au large public [10]), c'est l'œuvre de l'arriération des cadres universitaires français eux-aussi totalement incultes jusque dans le domaine de leur « spécialité » académique [11], arriération violemment désirée et préparée par Pierre Pascal, un ancien collaborateur de Trotski à Moscou qui avait suivi son maître après son expulsion clémente vers l'Occident.
L'unique activité effective de ces petits-enfants de Trotski actuellement professeurs universitaires en lettres consiste en la fabrication de crises institutionnelles calomniatrices visant à rependre l'opprobre sur celui qu'ils s'acharnent à éloigner de la chaire académique pour son attachement à l'ordre et à la beauté. En examinant les documents que j'ai recueillis auprès du Conseil national des universités, l'on comprend mieux comment les Trotskystes soviétiques ayant lancé les génocides des forces vives slaves ont réussi à faire porter à Staline le chapeau du plus grand crime contre l'humanité que l'on a un jour commis dans l'histoire.
En effet, Trotski banni de l'Union soviétique avec ses archives en 1929 a laissé derrière lui non seulement ce Goulag qu'il avait instauré, mais aussi une multitude d'administrateurs trotskistes se trouvant à l'origine de vagues entières d'ethnocides au sein de l'Union soviétique. Ils s'exterminaient entre eux aussi naturellement, mais faisaient porter la responsabilité de leurs crimes de masse au seul Staline, ce qui leur permettait d'entamer un travail actif de manipulation en Occident, exploitant leur image de victimes. C'est à cela qu'a servi la première partie de l'œuvre de Soljenitsyne recueillie par les fonctionnaires universitaires « russistes » français mis en place par Pierre Pascal, fidèle serviteur de Trotski avant, pendant et après l'occupation des forces du IIIe Reich, ce gouvernement de Vichy aujourd'hui décrié mais à qui cet ancien collaborateur de Trotski avait su fournir des gages [12].
Struve [13], Catteau et d'autres charlatans plébiscités par le système trotskisant comme « russistes », ayant déjà déménagé en Enfer, auparavant soutenus financièrement par une manne déversée de l'ambassade étasunienne à Paris, ont fait une réclame effrénée de Soljenitsyne, le poussant jusqu'au prix Nobel, dans un but unique : celui de dédouaner Trotski et surtout les Trotskistes de ces nouvelles générations rendues au néo-conservatisme des crimes ou de la complicité de crimes contre l'humanité, en en faisant porter l'unique responsabilité à Staline, ce qui leur a permis de contaminer d'un crypto-trotskisme à la sauce freudienne (vomissures que l'on appelle dans le charabia pseudo-scientifique « école de Francfort ») des générations occidentales entières et, ce qui est plus atroce encore, de rapatrier Trotski en Russie dès la Pérestroïka sous la forme d'une promotion de la laideur, de l'inculture déifiée, du cosmopolitisme, de la « théorie du genre » visant la publicité de la sodomie et donc la destruction de cette famille normale qui est la cellule primordiale de l'humanité.
Ma façon d'enseigner l'œuvre de Soljenitsyne, mon désir de faire connaître à la communauté académique un Soljenitsyne repenti à la fin de sa vie, aspirant – au moins partiellement – à réparer ses nuisances[14], indiquant son ancien commanditaire dans son Deux siècles ensemble, 1795-1995 m'a valu la calomnie habituelle et la pression ordurière auprès des rédactions du « très courageux résistant anti-stalinien » genevois Nivat, ce « professeur » maintenant mourant ayant passé sa vie entière à me diffamer [15] et à m'interdire de chercher un poste de maître de conférences en France. À la fin de sa vie, le vieux Soljenitsyne visitait les monuments vendéens à la gloire de la chouannerie et indiquait clairement la république française comme la matrice de cette terreur que Trotski a répandue à travers tout l'Empire russe. Naturellement, selon les éditeurs parisiens de L'Archipel du Goulag, Soljenitsyne aurait mieux fait de mourir avant cet acte de repentance. Le fait que Soljenitsyne ait effectué une puérile tentative de remettre les points sur les « i » a produit chez les créatures de l'agent trotskiste Pierre Pascal (si vous comptez faire carrière dans la slavistique française ou helvétique – ou cherchez à vous faire entretenir par elles –, il vaut mieux, pour votre gamelle, ne pas affirmer cette évidence !) les mêmes crises de calomnie à l'égard de Soljenitsyne que celles que je subis depuis 2012 de la part de leurs élèves membres du Conseil national des universités français (CNU) : tout est mis en œuvre afin d'anéantir toute description des nuisances trotskistes qui tirent leurs origines d'une secte qui s'est déclarée elle-même l'incarnation d'un Messie assoiffé uniquement de puissance terrestre[16], secte qui agit sans même se dissimuler et qui vise actuellement l'installation de ce pouvoir planétaire qu'elle n'avait pas réussi à instaurer il y a un siècle avec Leïba Bronstein quand il a imposé sa tyrannie depuis Petrograd.
Conclusion. Pourquoi attirer maintenant l'attention des élites spirituelles sur le cas des trotskistes français, arrière-petits-fils idéologiques de Pierre Pascal qui se sont eux-mêmes mis à nus en s'acharnant à me dénoncer depuis 2002 ? La guerre exterminatrice des cosmopolites contre les peuples et leurs droits naturels s'intensifie. Or, ce sont des slavistes français, ayant oublié leur filiation trotskiste mais ne cessant pour autant de répéter à l'infini les réflexes doctrinaux de Trotski, qui deviennent le fer de lance de cet ethnocide mondialiste annoncé. Pire : à l'approche de chaque événement civique russe - ainsi les élections présidentielles de 2018 -, ils pavanent à travers la Russie en se présentant comme l'incarnation de l'honneur et de l'indépendance d'esprit. De plus, ces parangons d'honnêteté y sont accueillis par leurs éditeurs moscovites, tels que les milliardaires Prokhorov, dressés par des gouvernements occidentaux alternant le bâton et la carotte pour qu'ils ne s’écartent point du chemin du carnage des Slaves de l’Est et des autres peuples de la Russie fédérale : tantôt l'emprisonnement en France ou des sanctions étatsuniennes visant individuellement Prokhorov, tantôt la décoration de toute la fratrie par la Légion d'honneur. Voilà pourquoi le dossier que je détiens sur les hôtes occidentaux des Prokhorov à Moscou, ces fonctionnaires universitaires français, est tellement précieux. Ces pièces uniques démontrent non seulement la nature des bâtards professoraux de Pierre Pascal – ce complice des pires crimes contre l'humanité que l'Eurasie a connus –, mais surtout dévoilent les véritables exigences des « libéraux » de la Russie où l'on devrait connaître la nature authentique de ces « modèles ». Comme Trotski a échoué à transformer les Slaves de l'Est en Nègres blancs (le rappel de sa phrase semi-mythique est nécessaire), ses descendants français s'acharnent aujourd'hui à déporter des tribus d'une Afrique en effervescence démographique vers la Russie en vue de métisser de force la population autochtone, comme cela est pratiqué en Europe de l'Ouest, notamment avec la complicité engagée des universités françaises. Car le trotskisme est animé par la haine raciale inextirpable des peuples blancs devenue le mode de fonctionnement des universités occidentales : l’Université de Paris 8 organise des rencontres où les personnes de race blanche sont officiellement prohibées[17] ; un organisme à vocation raciste anti-blanc à savoir le Conseil représentatif des associations noires de France (CRAN - imaginez-vous l’existence d’un Conseil représentatif des associations blanches de France ! Il serait interdit par la police politique républicaine sur-le-champ !) est dirigé par un maître de conférences de l’université d’Orléans, … Le Conseil national des universités françaises approuve donc le racisme anti-blanc car a donné une « qualification » officielle à ce fonctionnaire. De même, une étude à prétention scientifique de la Communauté dite « européenne » scientifique interdit à une ville hongroise d’accéder au titre de capitale culturelle de l’Europe car étant l’image d’« … une Europe blanche et chrétienne. Tout le monde est heureux, blanc et danse dans les rues. »[18]: l’auteur de ces lignes est privé par la Commission « européenne » d’une bourse de recherche car écrivant « dans des journaux à tendance patriotique ce qui serait contraire à la politique de la Commission européenne promouvant le métissage », … Je pourrais continuer les exemples de ce racisme anti-blanc encouragé par l’Université occidentale encore longtemps. La tactique des mondialistes néo-conservateurs est exactement celle des fonctionnaires universitaires français, membres du Conseil national des universités sélectionnés car conformes au magma trotskisant : ils sombrent dans des crises d’hystérie groupusculaire, puis présentant leur aboutissement comme l’unique issue possible, résultat d'une sage réflexion. Or, tant que le monde russe y résistera tantôt en dressant un barrage à Donbass ou à Donetsk, tantôt en appliquant une politique de défense de la famille ou des valeurs traditionnelles, ses peuples et dirigeants seront inlassablement traités de « fascistes » par ces misanthropes cosmopolites.
Dr Anatoly Livry, Bâle, Suisse
La version anglaise du même article est publiée :
Dr. Anatoly Livry, «The French University, A Temple of Genocidal Trotskyism», Journal of Eurasian Affairs, vol.5, Moscow, 2018, p. 99 - 103:
http://www.eurasianaffairs.net/magazine/
[1] À cepropos, voir mes séminaires universitaires russes 2012 - 2018 : «Говорит ли французский функционер "русист" Режис Гейро по-русски?», «Режис Гейро, студент французского троцкиста Окутюрье: "заумь" или банальное незнание русских склонений и спряжений?», «Анализ полицейских ябед Режиса Гейро, пересланных стукачом-функционером во французское Министерство просвещения. Конфликт интересов/открытая коррупция. Как это происходит в РФ и во Франции: полиция РФ =/= CNUФранции», «Роль Центра франко-российских исследований в Москве при раскрутке научных ничтожеств из французского CNU», «Любовь Юргенсон-Райхман & Нора Букс. Макрон & Олланд. Как во Франции фабрикуется "новое", сравнительный анализ. Разбор брошюр и конференций факультета славистики Сорбонны 2000 – 2016 гг.», "Вайнштейнизация Петрограда. Стукач. Научное ничтожество. Атташе по бескультурию при французском посольстве в Москве. Переводчик плагиатора Шишкина».
[2] Премия «Серебряная литера» 2005 за лучшую научную работу, монографию Набоков ницшеанец, Ст.-Петербург, 2005, 235 с. : http://magazines.russ.ru/kreschatik/2005/3/ko22.html
[3] Dr Anatoly Livry, « Tête d’Or et Hélios Roi, la rupture du Cercle de l’Éternel Retour », Bulletin Guillaume Budé, l’Association d’Hellénistes et de Latinistes français, responsable de l’édition : professeur Alain Billault, alors directeur de la Faculté d'Études grecques à Paris IV- Sorbonne, Paris, 2008 – 2, p. 167-193 : http://www.persee.fr/doc/bude_0004-5527_2008_num_1_2_2310
[4] Dr Anatoly Livry, « Nietzsche et le "Juif" », Schweizerische Zeitschrift für Religions- und Kulturgeschichte - Revue suisse d'histoire religieuse et culturelle,Université de Fribourg, Suisse, 2016, p. 421-434 : http://anatoly-livry.e-monsite.com/medias/files/livry-szrkg16-1.pdf
[5] Dr. Anatoly Livry, « Strindberg, Lukian und die Toteninsel », Der Europäer, Basel, Perseus Verlag, N. 8, juin 2012, p. 16-17 et 20 : http://anatoly-livry.e-monsite.com/medias/files/strindberg-europaer.pdf
[6] A. Ливри, Физиология Сверхчеловека, Ст.-Петербург,Aletheia, 2011, 310 с.: http://www.ng.ru/non-fiction/2011-06-02/6_game.html
[7] Др. Анатолий Ливри, «Вольтер под пером Ницше: фикция или союзник в Дионисической Pеволюции?» в XVIII ВЕК КАК ЗЕРКАЛО ДРУГИХ ЭПОХ. XVIII ВЕК В ЗЕРКАЛЕ ДРУГИХ ЭПОХ. – сб. ст. / Под ред. Н.Т. Пахсарьян. – СПб.: Алетейя, 2016. – 758 с., ил. ISBN 978-5-906860-58-3, с. 495 – 502 : http://elib.grsu.by/katalog/568120pdf.pdf?d=true
Материалы Десятой Международной Конференции «XVIII век как зеркало других эпох. XVIII век в зеркале других эпох» организованная Факультетом Истории Зарубежной Литературы Московского Государственного Университета им. Ломоносова с 24 по 26 марта 2016 г. : http://anatoly-livry.e-monsite.com/medias/files/18-2016.pdf
[8]Др. Анатолий Ливри, «Мандельштам и Набоков - две ницшеанские судьбы», Вестник Университета Российской Академии Образования, ВАК, Москва, 2015 - 4, c. 8-20 : https://istina.msu.ru/media/publications/article/c2b/0da/10634593/Vestnik_2015_04.pdf
[9] Анатолий Ливри, «Глаза», Новый журнал, Нью-Йорк, март 2011, с. 58 – 93 : http://anatoly-livry.e-monsite.com/medias/files/marc-aldanov-2010.pdf
[10] Cf. Enquête INSEE IVQ 2004-2005.
[11] Cf. à ce propos, Dr. Anatoly Livry, « Nabokov et l'idiocratie française » in Вісник Дніпропетровського університетуіменіАльфредаНобеля, Index Copernicus, РИНЦ, 2 (12) 2016, The Magazine is inscribed by the Higher Certifying Commission on the index of leading reviewing scientific periodicals for publications of main dissertation of academic degree of Doctor and Candidate of Science, p. 32-44.
Acte du colloque d'Anatoly Livry, « France : Désastre des humanités. Catastrophe de la slavistique française », XIVe lecture en hommage au Professeur Andreiev. Littérature XXe-XXIe siècles. Bilans et perspectives de recherche. Institut de l'Académie d'Éducation de la Fédération de Russie. 23 janvier 2016.
[12] À ce propos cf. Dr Anatoly Livry, « L'ANARCHO-TROTSKISTE PIERRE PASCAL ET SON ENGEANCE », Moscou, Géopolitica, le 1erdécembre 2017 : https://www.geopolitica.ru/fr/article/lanarcho-trotskiste-pierre-pascal-et-son-engeance
[13] Др. Анатолий Ливри, « Микитка купчик и Вечность », Российский колокол, Москва, n° 5-6, октябрь 2016, с. 242-244. Часть материалов международной конференции, организованной Факультетом Зарубежной Литературы МГУ им. Ломоносова : « Франция: крах гуманитарного образования. Катастрофа французской славистики». «ЧЕТЫРНАДЦАТЫЕ АНДРЕЕВСКИЕ ЧТЕНИЯ. ЛИТЕРАТУРА ХХ –XXIвв.: ИТОГИ И ПЕРСПЕКТИВЫ ИЗУЧЕНИЯ». УНИВЕРСИТЕТРОССИЙСКОЙАКАДЕМИИОБРАЗОВАНИЯ. 23 января2016 г.
[14] Dr. Anatoly Livry, « Soljénitsyne et la République régicide », Les Lettres et Les Arts, Cahiers suisses de critique littéraire et artistiques, Association de la revue Les Lettres et les Arts, Suisse, Vicques, 2011, p. 70-72.
[15] « M. Nivat m'avait signalé son mécontentement à la parution du dossier par rapport au "voisinage" avec certains auteurs. Je trouve cela bien regrettable... », témoignage écrit du 3 janvier 2012 du rédacteur publiant en Suisse mon travail français sur Soljenitsyne : Dr. Anatoly Livry, « Soljénitsyne et la République régicide »,Les Lettres et Les Arts, Cahiers suisses de critique littéraire et artistiques. Association de la revue Les Lettres et les Arts, Suisse, Vicques, 2011, p. 70-72.
[16] Cf. Werner Sombart, Les juifs et la vie économique, Paris, Kontre Kulture, 2018, 626 p. Cet ouvrage (paru à Paris pour la première fois chez Payot, en 1923) fut plagié et ses thèses furent revendiquées avec une arrogance toute tribale par Jacques Attali, Les Juifs, le monde et l'argent, Histoire économique du peuple juif, Paris, Fayard, 2002, 638 p.
[17] Jack Dion, « À Reims, un "camp d'été décolonial" interdit aux Blancs », Marianne, Paris, le 25 août 2016 : https://www.marianne.net/debattons/editos/reims-un-camp-dete-decolonial-interdit-aux-blancs
[18] Vincze Viktor Attila, « Uniós bírálóbizottság: Székesfehérváron túl sok a fehér és kevés a migráns », Budapest , le 15 février 2018 : https://888.hu/article-unios-biralobizottsag-szekesfehervaron-tul-sok-a-feher-es-keves-a-migrans