Collecte massive de données, une stratégie des globalistes pour alimenter les programmes d’intelligence artificielle
La collecte de données est le principal problème des sociétés, Etats et peuples actuels. Cette collecte est organisée, au niveau mondial, de façon massive et systématique par ceux qui contrôlent le système économique global afin d’alimenter les vastes programmes d’intelligence artificielle. Ces programmes, souvent dirigés par des autistes type asperger, n’en sont pas moins financés par les plus grands capitalistes de la planète. Confier la direction de l’intelligence artificielle à des personnalités autistiques n’est pas neutre ; cela signifie que cette intelligence ne sera pas organisée et orientée dans le sens de la coopération et de la solidarité des hommes mais dans celui de l’atomisation des connaissances et des contacts. Cette orientation privera de facto les humains de toute coopération. La maxime « diviser pour mieux régner » est ici poussée à son paroxysme.
Les faits
Si l’on veut bien se donner les moyens de faire un tour d’horizon de la collecte massive de données, on s’apercevra que celle-ci est faite à tous les niveaux :
- au moyen d’instruments internationaux normatifs issus de l’OCDE (1. échange automatique d’informations fiscales, http://www.oecd.org/fr/ctp/echange-de-renseignements-fiscaux/) ou de l’OMC (2. https://www.wto.org/french/res_f/statis_f/statis_f.htm), qui proposent des outils juridiques multilatéraux pour les collectes et transferts massifs de données ;
- par l’Union européenne (3. Voir l’exemple du transport aérien, celui des données bancaires,banque.fr/risques-reglementations/article/donnees-personnelles-aux-etats-unis-dans-ue-ves-u, ou encore d’une façon générale toute les données personnelles transitant par des entreprises privées) ; mais également
- par le biais de contrats bilatéraux, plus ou moins officiels, effectués par exemple par les services de renseignements de certains pays (4. Par exemple la France : http://mobile.lemonde.fr/international/article/2013/10/30/surveillance-la-dgse-a-transmis-des-donnees-a-la-nsa-americaine_3505266_3210.html ; http://m.rfi.fr/ameriques/20131130-espionnage-services-secrets-francais-precieux-partenaires-nsa-americaine) ; également
- de façon directe par des entreprises capitalistiques créatrices des « réseaux sociaux » (5. Voir l’exemple de Facebook qui collecte et utilise quantité de données individuelles issues du monde entier pour, notamment, les utiliser à des fins politiques de contrôle des opinions publiques) ;
- de façon directe par des banques ou autre organismes financiers (6. voir l’exemple de SWIFT) ou par divers autres organismes à vocation scientifiques (7. Voir la récente collecte de matériel génétique russe, https://fr.sputniknews.com/russie/201711091033802170-russie-donnes-biologiques-collecte/ et encore ou prétendument non gouvernementaux (8. Associations, fondations : par exemple l’Open Society de Soros qui explique collecter des données et statistiques pour rendre service – à ses futures victimes – : cf. page 31 du document suivant, etc.). Notons au passage que la structure de collecte des données par l’Open Society de Soros suit le même modèle, prétendument vertueux, que celui en vigueur dans des organismes comme l’OMC…
C’est précisément dans ce contexte de collecte massive de données – et alors que les services de renseignements russes ne doivent pas faire montre de suffisamment de diligences dans la collecte et le transfère de ces données à qui de droit – que s’inscrit l’actuel projet de loi qui prétend donner aux banques russes une liberté totale pour la collecte des données individuelles de leurs usagers. Cette initiative, qui n’a semble-t-il malheureusement rencontré aucune résistance sérieuse de la part des élus, s’analyse pourtant comme une offensive globaliste envers un Etat dont l’âme, bien que parfois faible devant la subversion intérieure, a toujours résisté à toute tentative d’asservissement extérieur.
Parallèle géopolitique entre la France et la Russie
Après l’héroïque résistance économique et politique française durant la période où la France était dirigée par le Général De Gaulle, cette même France a fait l’objet, dès le début des années 70, d’une reconquête méthodique de ses hommes politiques dans l’objectif de supprimer définitivement sa force économique, laquelle avait montré trop de velléité d’indépendance par rapport au pouvoir économique dominant. Les globalistes ont aujourd’hui réussi le tour de force consistant à faire disparaître la France de la scène économique et politique ; ils y ont mis de gros moyens et n’ont jamais reculé, pour ce faire, devant une vilénie économique, financière et politique.
Il se passe aujourd’hui en Russie la même chose à la différence près que ce n’est pas une résistance essentiellement d’ordre économique que la Russie a offerte à la volonté hégémonique de banquiers-commerçants, mais une résistance de l’âme, l’âme slave qui montre historiquement un peuple debout derrière ses élites patriotiques. Les globalistes attaquent donc le point le plus dangereux pour eux : ils veulent avoir raison de « l’âme russe ». Pour ce faire, ils étudient ce qui, génétiquement, peut justifier une telle farouche volonté de résistance. Ils contournent également l’obstacle mis par les pouvoirs publics aux transferts massifs de données individuelles en faisant passer une loi qui permettra aux banques privées de collecter elles-mêmes les données convoitées.
La collecte massive de données, une stratégie au service des programmes d’intelligence artificielle
Le résultat de ces collectes massives et internationales de données ne va faire qu’une seule chose : alimenter les programmes, eux aussi massifs, d’intelligence artificielle contrôlés par les plus grands capitalistes de la planète.
Cette volonté officielle de collecte massive de données doit être considérée du point de vue des agents dominants, ceux qui financent ces programmes d’intelligence artificielle. Car à la vérité, l’IA n’est rien d’autre qu’un outil ; un outil peut être mis dans de bonnes mains, des mains favorables à la liberté humaine et au service des humains, ou dans des mains avides de pouvoir qui ne pensent qu’à la domination hégémonique.
Lorsque les programmes d’intelligence artificielle sont contrôlés, de façon concentrée, par les plus grands capitalistes de la planète, lesquels confient par ailleurs leur développement à des personnalités autistiques, peut-on réellement considérer que ces programmes sont développés dans l’intérêt bien compris du genre humain ?
Les Etats ne doivent pas s’y tromper, il s’agit d’une guerre à mort qui leur est menée par ceux qui contrôlent le pouvoir économique global et qui veulent imposer un gouvernement mondial – le fameux « Nouvel Ordre Mondial » – à leur profit exclusif.
La volonté hégémonique et la destruction programmée des Etats et des peuples
L’intelligence artificielle est, dans les mains des globalistes, un outil, comme l’est la dématérialisation de la monnaie (d’où l’actuel engouement pour les cryptomonnaies), afin de s’assurer de l’absence définitive de la possibilité d’émergence de contre-pouvoirs. Des films américains à grand spectacle, comme « Terminator Genisys » , « Elysium » ou « The Island » , montrent clairement la voie dans laquelle les globalistes veulent collectivement nous mener : celle de la dictature universelle globale dans laquelle la grande majorité des humains serviront de « pièces de rechange » serviles à la petite minorité des dirigeants. Le résultat des programmes d’intelligence artificielle seront mis au service des puissants globalistes pour asservir le reste de l’espèce humaine.
Que les petits collaborateurs du système, ceux qui croient sortir gagnants de ce pacte faustien avec les grands capitalistes, se méfient : devenus inutiles, leur tour viendra de succomber devant les coups de l’hégémonie dominante. Il appartient donc à chacun de bien réfléchir à son camp et à la position qu’il ne manquera pas d’occuper dans un proche, moyen ou long terme…
Source: FLUX