Entretien Lavrov-Kerry

18.11.2016

Un entretien entre le ministre des affaires étrangères de la Russie Sergueï Lavrov et le secrétaire d’État américain John Kerry a été tenu au Pérou en marge de la session ministérielle du sommet de l'APEC. Un large éventail de questions a été discuté lors de la rencontre, dont la situation en Syrie, en Ukraine, au Yémen, aux États-Unis.

La question principale

Effectivement, l'accent principal a été porté sur la question syrienne. Selon Mikhaïl Bogdanov, directeur chargé de la région du Proche-Orient du MAE russe, les chefs de la diplomatie ont discuté « tout l'ensemble des questions liées à la Syrie, y compris la lutte contre le terrorisme, des questions humanitaires et politiques ».

La position des États-Unis

La position de Washington, cependant, n'a pas évolué, et ne changera pas avant l'entrée en fonction de Donald Trump. Le président sortant Barack Obama l’a souligné de son entretien avec la chancelière allemande Angela Merkel.

D’autant plus, l'administration d’Obama tente à toute force d’empêcher la défaite des terroristes en introduisant de nouvelles sanctions et en élaborant toutes sortes de documents « exhaustifs ». Cependant, il devient de plus en plus clair que la libération d'Alep, et, par la suite, la victoire de la Syrie sur le terrorisme arrivent à grand pas.

La situation en Syrie

Immédiatement après les nouvelles sur la victoire de Trump, les terroristes syriens ont demandé un armistice, bien sûr, afin de revoir la stratégie, se redéployer et se reposer. D’ailleurs, cela n'a pas eu lieu, et des organisations des droits de l'homme simili syriennes ont été lancées au combat.

Depuis le début de l'opération à grande échelle de la Russie, les terroristes se font étriller sans cesse et ont recours aux moyens extrêmes en le réalisant. Ainsi, hier ils ont organisé une attaque aui a emporté les vies de 25 personnes, dont la plupart étaient des opposants de Bachar el-Assad.

De toute évidence, cela est fait en vue de susciter dans les « opposition armée » (terroristes), l'esprit de vengeance, d'appeler une fois de plus pour au djihad, et en même temps, de noircir le gouvernement syrien et ses alliés aux yeux de la communauté mondiale.