Alors, c’est la guerre ?
Résumons les événements récents
1. Les Casques Al -Qaïda blancs [1] ont offert à la délectation des merdias putrides du monde libre, des vidéos d’enfants agonisant, probablement empoisonnés au gaz par les Égorgeurs modérés chéris de Hollande et Cazeneuve. [2]
2. Pour ne pas être en reste le Casque jaune de la maison blanche fait abattre cinq autres beaux enfants à coup de Tomahawk !
Cette hystérie dénote un tel manque patent de virilité que les Pussy-hat ne se tiennent plus de joie et jettent leurs hat roses par dessus les moulins pour rafraîchir leurs pussies mis en chaleur thermonucléaire ! Vive Hillary Trump, criaient-elles, triumphantes à New York dans la 47e rue.
Bénéfice secondaire local, nous autres électeurs français auront un aperçu sur le degré de servilité des candidats en lice. Sans surprise les pires va-t-en guerre se recrutent à gauche : le trio Macron-Hamon-Poutou !
Et oui, Poutou le rrrrrrévolutionnaire, « crasseux, mal rasé, mal élevé » comme dit l’excellente Marion Maréchal, se révélera comme un des plus serviles laquais de l’impérialisme américain !
Le mort saisit le vif
La rébellion de Trump contre le fameux « État profond hamériquain » était-elle factice ou simplement étudiée ? Artificielle ou artificieuse ? Était-ce la ruse du renard ou les rodomontades d’un roquet ?
Les bavards infatués qui ne comprennent rien à rien, les tenants de l’ère inflationnaire du vide vont y aller de leurs dissertations !
Que n’a-t-on pas lu et entendu jusqu’à présent ?
Que de complications !
La simplicité fondamentale, difficile à saisir parce qu’elle repose sur la vraie connaissance, la voici abruptement résumée :
L’élection de Trump n’a pas renversé l’État, le complexe militaro-industriel, la CIA, le NSA, la Banque, Hollywood, l’AIPAC, etc. Le mal est trop profond, cette gangrène économique, sociale, morale qui descend jusqu’au cœur. Il faudrait l’extirper, récurer jusqu’à l’os cette pourriture qui ronge tout le corps social, jusqu’à amputer ses membres les plus corrompus.
Ça c’est l’opération chirurgicale qu’on nomme la révolution.
Une élection n’est qu’un remède de bonne-femme. Quelque temps le malade se berce d’illusion, jusqu’à la prochaine crise, qui lui révèle que son État s’est aggravé.
Et dans l’accélération terminale de notre âge apocalyptique, les rémissions sont de courte durée.
Ainsi nous assistâmes confondus, déçus et écœurés, à un revirement bestial de la ligne politique du président Trump.
Ce changement de cap à 180° est parfaitement symbolisé par le changement gravitationnel qui s’est opéré dans la sphère rapprochée du président. Éviction de Steve Bannon, nationaliste américain, « l’Amérique d’abord », remplacé par son gendre Jared Kushner, Juif orthodoxe, « l’Israël avant tout ».
(Ah, Ivanka !
Ayez donc des filles !)
Bien sûr cette simplicité sera jugée simplette par les complexificateurs professionnels qui ajoutent leur confusion au chaos régnant.
Et quand ils produisent à peu près la même analyse il leur faut dix pages de circonlocutions et de circonvolutions pour y arriver.
Ces événements nous dépassent, semblent-ils dire, nous allons les expliquer aux autres.
Y’ a de la conférence dans l’air les gars !
Leur cul-bénis confortablement posés sur leurs sièges, engoncés dans leurs oripeaux idéologiques qui puent la naphtaline, leurs pénibles ratiocinations ont la pesanteur « des choses mortes qui pèsent très lourds sur les cerveaux des vivants » [3].
Ainsi de Trump et de son « État profond » : le mort saisit le vif !
Y aura-t-il un accord secret entre Poutine et Trump ?
Trump veut donc abattre Bachar al-Assad, comme « une personne malfaisante » , comme « un animal », dit-il aujourd’hui, quelques jours après avoir affirmé que le départ d’Assad n’était pas une priorité !
Il choisit donc de finir le bon boulot en Syrie, c’est à dire d’être son bourreau, dans la continuation du démembrement du Proche-Orient commencé le 11 Septembre, en stricte application du Plan Yinon.
Dans cette basse besogne le mieux serait d’obtenir l’aide passive de Poutine.
Tout est là.
Mes propres services télépathiques ont pu saisir une bribe de conversation téléphonique secrète entre le beau papa de Kushner et Vladimir :
— Écoute Vladimir, tu es un milliardaire ne l’oublie pas ! Et moi je suis le milliardaire de tous les milliardaires, celui qui défend le terreau des milliardaires dans leur ensemble. Tu dois obéissance au big-boss du Capital.
— Je suis aussi le chef d’État de la Russie et je dois la servir !
— Tu es milliardaire d’abord !
— Je ne veux pas, je ne peux pas, consentir à devenir un valet comme Hollande !
— Personne ne te demande de descendre aussi bas. Reste ce que tu es, et nous ferons un partenariat d’Enfer !
_ Tu ne voudrais pas la guerre nucléaire, quand même ?
bzzgrrdzzzgkw...
À partir de là, on m’a brouillé l’écoute et je n’ai pas pu ouïr. [4]
A propos de la guerre nucléaire qui vient, Steven Starr, un savant renommé membre de la fondation Physicians for Social Responsibility et de Nuclear Age Peace Foundation, a analysé les conséquences d’un échange de bons et loyaux services nucléaires entre Washington et Moscou.
Voici ce qu’il dit :
« Le nombre de morts sera dans les dizaines de millions dans la première heure, écrit-il, et ce ne sera que l’horrible début.
_ « Les deux pays ont entre eux 3500 armes nucléaires stratégiques déployées et opérationnelles qu’ils peuvent détoner en une heure. Ils disposent de 4600 armes nucléaires en réserve et qui sont prêtes à être utilisées. Compte tenu de ce grand nombre de méga-armes, il est fort possible que la plupart des grandes villes des deux pays soient touchées.
_ « 30 % des populations américaine et russe seront tuées dans la première heure. Quelques semaines plus tard, les retombées radioactives en tueront encore 50 % ou plus.
L’hiver nucléaire, période glacière causée par l’impact environnemental de la guerre nucléaire, provoquera probablement la mort de faim de la plupart des êtres humains de la planète en deux ans.
Voilà qui est fort prometteur.
Pourvu que Poutine tienne bon et aille à la guerre !
Mieux vaut une fin horrible que l’Horreur sans fin !
Paris le 14 avril de l’an de disgrâce 2017
Notes
[1] Les Casques blancs, soi-disant une ONG indépendante, reçoivent jusqu’à 100 millions de dollars de la CIA et du ministère des Finances du Royaume-Uni, un financement de projet secret. Les enfants assassinés sont leurs atouts et leur fonds de commerce. Partageant le quartier général avec le renseignement turc à Gaziantep, en Turquie, il s’agit bien plus d’un « escadron de la mort » que d’une organisation de défense civile.
[2] Swedish Doctors For Human Rights (swedhr.org) a analysé les vidéos, montrant les premiers secours après la prétendue attaque des forces gouvernementales syriennes. Les médecins ont constaté que les vidéos sont contrefaites, qu’elles incluent même des instructions de mise en scène en arabe, et que le prétendu « secours » est en réalité du meurtre. En première analyse, il semble que les médecins travaillant sur l’enfant font comme s’il était déjà mort. Toutefois, après enquête plus approfondie, notre équipe a constaté que le jeune garçon était inconscient du fait d’une surdose d’opiacés. La vidéo montre que l’enfant reçoit des injections dans la poitrine, peut-être dans la région du cœur, et en fin de compte, a été tué par l’injection d’adrénaline manifestement simulée qui lui était administrée.
C’était un meurtre.
La vidéo devrait montrer des mesures de premier secours après une attaque chimique au chlore (prétendu être maintenant du sarin – ce qui est impossible), dont l’injection d’adrénaline avec une seringue à longue aiguille dans le cœur d’un nourrisson. En aucun cas, les traitements n’ont été correctement administrés pour un éventuel agent chimique.
La manipulation et le traitement de l’enfant ont été effectués de manière négligente, dangereuse et susceptible de lui nuire gravement.
Le plus révélateur est les injections d’adrénaline simulées et répétées, prétendument dans le cœur. Le personnel médical, et je pense qu’à ce stade, nous pouvons les appeler en toute certitude les acteurs, n’ont pas poussé le piston de la seringue. Le contenu de la seringue n’a donc jamais été injecté, comme cela est clairement visible dans la vidéo.
Le diagnostic de l’équipe de vrais experts médicaux, d’après ce que montre la vidéo, dit que l’enfant souffrait d’une injection d’opiacés et était probablement en train de mourir d’overdose. Il n’y a aucun indice d’agent chimique ou autre.
Dans la vidéo des casques blancs, il est évident que l’enfant a été assassiné par l’administration simulée d’injection avec une longue aiguille. Il s’agit d’un meurtre délibéré, mis en scène pour simuler un traitement médical.
[3] Karl MARX, Le 18 Brumaire de Louis Bonaparte
[4] Nous avons ici deux contrepèteries dont l’une est un grand classique.