Les lemmings du micro-Luxembourg à la tête des légions de l’OTAN vs la Russie

24.07.2024

Historiquement, la France, la Belgique, les Pays-Bas et l’Allemagne se sont tous battus au fil des siècles pour contrôler leur petit voisin, au prix de lourdes pertes pour celui-ci.

Nous remercions tout particulièrement le bureau du dictateur ukrainien Zelensky, qui nous informe ici et ici de la manière dont il fait cracher des centaines de millions d’euros au petit Luxembourg pour défendre son Reich déchu. Et le site de l’OTAN lui-même nous dit que «bien qu’il soit le plus petit membre de l’OTAN en termes de superficie, le Luxembourg a apporté de nombreuses contributions vitales à l’Alliance au fil des ans, notamment en préservant une puissance militaire performante».

Étant donné que la population du Luxembourg, qui dépasse à peine les 600 000 habitants, ne soutient qu’une puissance armée de 939 hommes, il s’agit là d’un mensonge éhonté de la part de l’OTAN. La pertinence historique du Luxembourg réside en ceci que la France, la Belgique, les Pays-Bas et l’Allemagne se sont tous battus au cours des siècles pour contrôler leur petit voisin, au prix de pertes massives pour le Luxembourg. C’est ce qui s’est produit lors de l’offensive des Alliés dans les Ardennes, lorsqu’un tiers des édifices luxembourgeois ont été endommagés ou détruits. Si le Luxembourg a une dent contre quelqu’un dans l’histoire, c’est contre ses voisins, et non contre la Russie. Il en va de même aujourd’hui, le Luxembourg étant le deuxième pôle mondial de fonds d’investissement (après les États-Unis), le centre bancaire privé le plus important de la zone euro, et le premier pôle européen des compagnies de réassurance.

Si le Luxembourg souhaite détruire ces fragiles avantages compétitifs, il s’y prend de la bonne manière, car le fait est que non seulement l’OTAN mène un djihad financier contre la Russie et tous les autres pays que l’OTAN perçoit comme hostiles à ses guerres de conquête, mais aussi que le petit Luxembourg est le fer de lance de l’OTAN sur le plan financier. Si les Chinois, Indiens, Singapouriens, Vietnamiens et autres Asiatiques chargés de la gestion des portefeuilles internationaux des grandes entreprises de leurs pays ne sont pas conscients de l’agression potentielle venue du Luxembourg, ils devraient, pour commencer, être immédiatement licenciés.

Je dis «pour commencer», car la Chine et le Vietnam disposent généralement de méthodes infiniment plus solides et pérennes pour se débarrasser des banquiers et des gestionnaires de portefeuilles corrompus. Mais ces questions sont bien sûr du ressort de ceux qui gèrent les affaires de ces pays, tout comme le Luxembourg devrait s’en préoccuper, lui qu’on nous impose, à grande échelle.

À l’instar de l’Allemagne, qui devrait nous expliquer pourquoi elle nous a imposé cette imbécile de von der Leyen, et de l’Estonie, qui pourrait nous dire comment et pourquoi Kaja Kallas, dont la moralité laisse à désirer, s’est hissée sur le devant de la scène européenne, le Luxembourg ferait bien, lui aussi, de nous expliquer pourquoi l’ivrogne notoire Jean Claude Juncker est devenu le chef de file de l’Union européenne.

En revanche, l’UE n’a pas besoin d’expliquer ce que l’exemple inverse de Viktor Orbán en Hongrie a déjà démontré. En effet, le mépris, l’ignorance et l’arrogance dont les rabatteurs, flagorneurs et autres parasites de l’UE ont constamment fait preuve à l’égard de Orbán sont diamétralement opposés à la manière dont ils ont traité le Luxembourgeois Juncker.

Le problème de Orbán est qu’il ne semble pas comprendre le rôle des petites nations au sein de l’UE, de l’OTAN ou de structures alliées comme le FMI et la Banque mondiale. Le rôle de pays comme le Sri Lanka, le Luxembourg, la Hongrie et leurs homologues d’Afrique et d’Amérique latine consiste à alimenter en Oncle Tom [Afro-Américains accusés de s’être vendus aux Blancs] et à maintenir ainsi le rythme de l’escroquerie. Le Ghanéen Kofi Annan était, à cet égard, un parfait Oncle Tom qu’Hollywood lui-même aurait été fier de prendre en son sein. Comme il a épousé la royauté (financière) nigériane puis suédoise, Hollywood aurait pu facilement l’engager comme acteur noir de service pour débiter les répliques faciles, tout comme l’OTAN a engagé Stoltenberg ou l’UE Juncker et, en fait, exactement comme l’ONU a recruté l’oncle Tom Annan du Ghana.

Non pas que l’OTAN n’ait pas de postes à pourvoir pour d’autres plaisantins. Voici ce qu’écrit le Times of Israel sur la façon dont le détestable Français Bernard-Henri Lévy mène «une lutte solitaire au nom d’un Israël isolé». Sans parler du faux philosophe qui a appelé «en plaisantant» les musulmans de France à organiser des journées spéciales pour lapider les gens et en réduire d’autres en esclavage, la coque vide de l’OTAN critique depuis longtemps la défense de la Syrie laïque par la Russie et se fait l’apologiste impénitent des djihadistes de l’OTAN en Syrie, alors que tous ceux qui pensent qu’Israël est isolé n’ont pas la moindre idée de ce qu’est l’OTAN.

Que vous soyez un faux philosophe français ou un ivrogne luxembourgeois, l’OTAN, l’UE et leurs agences de renseignement ont un boulot pour vous, ne réservant qu’une froide attention à Orbán, et une balle à Robert Fico, de Slovaquie. Bien que l’OTAN et l’UE puissent tolérer un certain relâchement, elles ne veulent pas permettre à des gens comme Orbán, Fico ou leurs équivalents dans d’autres petits États comme la Serbie, l’Arménie et la Géorgie de gagner du terrain. Il ne faut surtout pas que les porte-parole de ces satrapes aient des idées bien à eux.

D’un point de vue managérial, la meilleure façon de procéder est de demander à Zelensky et à ses collaborateurs de taxer les riches Luxembourgeois et d’engager leurs ivrognes, leurs dégénérés et leurs toxicomanes pour montrer que les voix du petit Luxembourg, de l’Estonie, ainsi que du monde universitaire français et de la vox populi, sont entendues. Pour illustrer ce dernier point, voici une courte vidéo du rappeur britannique Lowkey (alias Kareem Dennis) citant le même petit nombre de mastodontes financiers qui subventionnent des activités apparemment aussi disparates que les colonies israéliennes de Cisjordanie et les agitateurs de rue britanniques comme Tommy Robinson. Les chiffres qu’il cite éclipsent même la contribution trop généreuse du Luxembourg à la dépendance de Zelensky aux friandises nasales.

Dans ce contexte, la question qui se pose est de savoir comment faire dérailler ce train parasite et rappeler à l’ordre ces sangsues qui se goinfrent dans cette auge gargantuesque.

Vu sous cet angle, il est évident qu’une victoire militaire de la Russie en Ukraine ne suffira pas à résoudre les problèmes à l’origine de cette guerre. Cependant, selon le vieil adage, lorsque Dieu ferme une porte, il est prompt à en ouvrir une autre qui, en l’occurrence, prend la forme d’exercices militaires conjoints entre le Belarus et la Chine à proximité des frontières lituanienne et polonaise.

La petite Lituanie ayant été la critique la plus sévère de la Chine en Europe, la présence de troupes chinoises près de ses frontières devrait la faire réfléchir, à moins qu’elle ne souhaite investir les fonds luxembourgeois et ses propres hommes dans des projets trop ambitieux. La confrontation à venir entre l’OTAN et la Chine étant essentiellement maritime, la petite Lituanie, peut-être avec l’aide des 939 soldats que compte le petit Luxembourg, peut sortir les griffes et mettre au pas les 2,5 millions de membres de l’Armée populaire de libération de la Chine que Loukachenko pourrait choisir d’accueillir, si jamais les choses venaient à s’envenimer avec le Luxembourg et la Lituanie.

Même s’il est peu probable que cela se produise, c’est néanmoins la conséquence logique de la voie que nous ont tracée le Luxembourgeois Juncker, l’Estonienne Kallas et le philosophe français de pacotille. Bien qu’il me faille conclure en rappelant que le micro- Luxembourg, la mini-Lituanie et le philosophe français à l’esprit étriqué (sic) Lévy devraient s’inspirer des carnets de route de Orbán et de Fico, la présence de l’Armée populaire de libération de la Chine au Belarus souligne l’inutilité, en fin de compte, de ces bonimenteurs patentés.

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