Incendie de Notre-Dame, l'Europe brûle
« … из тяжести недоброй
И я когда-нибудь прекрасное создам. »
Мандельштам
Dans ma thèse de doctorat soutenue à l'Université de Nice-Sophia Antipolis, publiée à Paris chez Hermann (http://www.editions-hermann.fr/3873-nabokov-le-nietszcheen.html) puis devenue tabou en France, j'ai prédit l'ensemble des symptômes de l'agonie que vit l'Europe décadente. Cette agonie est due au mépris des mythes fondateurs, à l'aversion des Occidentaux envers leur propre âme. Peu importent les causes de cet incendie parisien, ce qui est précieux de remarquer, c'est cette joie maligne qui submerge les Africains et Asiates (http://www.fdesouche.com/1192185-sur-les-reseaux-sociaux-des-musulmans-lient-lincendie-de-notre-dame-au-tweet-blasphematoire-du-jeune-hugo-la-veille) dont les Aryens dégénérés de l'Ouest avaient déportés dans leur pays les grands-parents, leur transmettant la haine raciale qu'ils éprouvent envers eux-mêmes. Ce mépris que ressentent bon nombre des Français de souche envers leurs origines, envers la famille normale composée d'un père et d'une mère, envers leur religion et leur histoire se traduit par des violences manifestes que la France s'afflige à elle-même.
Voilà pourquoi cette cathédrale de Notre-Dame qui avait été bafouée par des furies il y a quelques années avec la bénédiction de quasi l'ensemble de la classe politique et médiatique française ne subit que la conséquence physique de ce qu'endure l'expression spirituelle de l'Occident depuis des siècles. Et le président dit « français », schizophrène et versant des larmes de crocodile sur les flammes destructrices mais qui méconnaît par ailleurs la culture française (Macron : « Il n'y a pas de culture française » (Lyon, le 4 février 2017) : https://www.youtube.com/watch?v=dlHDccvIq9o) n'est qu'un complice supplémentaire, psychopathique mais non moins criminel, de l'hécatombe que subit l'Occident.
Dans son journal, à la date du 28 mai 1871, la compagne de Richard Wagner note la réaction de ce dernier à l'incendie par des Communards du Louvre et des Tuileries : « Richard spricht nun heftig über den Brand und seine Bedeutung, 'wenn ihr nicht fähig seid, wieder Bilder zu malen, so seid ihr nicht wert, sie zu besitzen' » [1]. En effet, lorsque, via plusieurs génocides qu'il s'est infligés, un peuple s'est rendu racialement incapable de créer la beauté – ce qui est le cas de la majorité des Occidentaux incapables de discriminer le beau et le laid –, il n'est plus digne de posséder des œuvres d'art.
Par ces lignes pessimistes qui me font naturellement détester comme chaque Cassandre est haïe – surtout par cette droite française non moins complice de cet holocauste français –, je proclame ce fait divers être l'incinération de tout espoir d'une renaissance pacifique pour les Indo-Européens de l'Ouest qui pourront éventuellement recouvrer leurs mythes et leur liberté après des décennies de reconquista militaire et spirituelle.
[1] Cosima Wagner, Die Tagebücher in drei Bänden, t. 1, 1869-1873, Berlin, 2015, p. 293.